Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Administration publique : Le MPP regrette et condamne la récurrence des grèves sauvages
28 juin 2017, 19:04, par
Ka
Si Salif Diallo se permet aujourd’hui d’employer le mot grève sauvage, est une insulte au peuple. Car le même Salif diallo qui a fait presque tous les couloirs des pouvoirs du Burkina, sait que toute lutte de classe dite grève ou révolte, est une lutte politique. Si ce salif Diallo ose dire que les petites et moyennes révoltes dites grèves sont sauvages, c’est que le diviseur Salif Diallo sait parfaitement que ces grèves constituent la force motrice du développement de la société divisée en opprimée et exploiteurs. Monsieur Diallo sait très bien, et ne peut pas oublier que dans la société Burkinabé depuis son indépendances, ces grèves dites sauvages, mais très efficaces pour chasser des dirigeants prédateurs ont toujours existées, et continuent à être plus vives à cause de leur mal gouvernance dans l’égoïsme et de la continuité assassine. Tout le peuple Burkinabé était témoins de ces grèves sauvages entre patrons et ouvriers, entre les gouvernements et les travailleurs, comme celle du 3 Janvier 1966, de 1968, de 1975, de 1980, ou la grève des travailleurs de la Bravolta contre leur patron en Avril 1983. Alors Mr. salif Diallo si vous aviez tendu la main à des magistrats ayant à leurs possessions des dossiers vous compromettant, subissez les conséquences, car toute la classe opprimée veut aussi la part du gâteau. Monsieur Salif Diallo, vous qui êtes une bête en politique, un diviseur né, vous saviez que de fois, il arrive que la lutte des classes dans une société ne soit pas très vive à cause de la bonne gouvernance, ou quand une bonne partie des exploitées ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhontée comme les Bénéwendé sankara et autres. Conclusion acceptez comme vous aviez eu le malheur d’avoir peur à la grève sauvage des magistrats qui vous ont ménotés.
Si Salif Diallo se permet aujourd’hui d’employer le mot grève sauvage, est une insulte au peuple. Car le même Salif diallo qui a fait presque tous les couloirs des pouvoirs du Burkina, sait que toute lutte de classe dite grève ou révolte, est une lutte politique. Si ce salif Diallo ose dire que les petites et moyennes révoltes dites grèves sont sauvages, c’est que le diviseur Salif Diallo sait parfaitement que ces grèves constituent la force motrice du développement de la société divisée en opprimée et exploiteurs. Monsieur Diallo sait très bien, et ne peut pas oublier que dans la société Burkinabé depuis son indépendances, ces grèves dites sauvages, mais très efficaces pour chasser des dirigeants prédateurs ont toujours existées, et continuent à être plus vives à cause de leur mal gouvernance dans l’égoïsme et de la continuité assassine. Tout le peuple Burkinabé était témoins de ces grèves sauvages entre patrons et ouvriers, entre les gouvernements et les travailleurs, comme celle du 3 Janvier 1966, de 1968, de 1975, de 1980, ou la grève des travailleurs de la Bravolta contre leur patron en Avril 1983. Alors Mr. salif Diallo si vous aviez tendu la main à des magistrats ayant à leurs possessions des dossiers vous compromettant, subissez les conséquences, car toute la classe opprimée veut aussi la part du gâteau. Monsieur Salif Diallo, vous qui êtes une bête en politique, un diviseur né, vous saviez que de fois, il arrive que la lutte des classes dans une société ne soit pas très vive à cause de la bonne gouvernance, ou quand une bonne partie des exploitées ignorent complètement qu’ils sont l’objet d’une exploitation éhontée comme les Bénéwendé sankara et autres. Conclusion acceptez comme vous aviez eu le malheur d’avoir peur à la grève sauvage des magistrats qui vous ont ménotés.