Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Promotion immobilière : Dieudonné Bonanet ne veut plus de désordre
21 juin 2017, 14:19, par
justice
Parfaitement d’accord avec PAK
"M. le Ministre,
Soyez davantage clair avec les promoteurs. Au nom de prétendues viabilisations (puisqu’elles consistent essentiellement selon ses promoteurs à négocier l’eau et l’électricité avec l’ONEA et la SONABEL, le reste est similaire au lotissement traditionnel des communes sans aménagement conséquent), on vent les parcelles de 300m2 à près de 6 millions FCFA. C’est de l’arnaque pure. Ailleurs, le promoteur peut juste recevoir 5 hectares maximum après présentation d’un plan qui pourrait absorber au moins de 15000 habitants y compris les infrastructures sociales ; ces promoteurs construiront forcement en hauteur en systèmes d’appartements. Au Burkina Faso, on négocie 100 hectares par-ci, 200 par là, et chaque promoteur devient un vendeur de parcelles à des prix révoltant le citoyen moyen et pauvre. Et après, on s’étonne que des populations se révoltent.
Si l’Etat était exigeant, tout ce que les promoteurs ont fait à Ouagadougou y compris ses succursales pouvaient se contenir dans moins de 500 hectares."
Parfaitement d’accord avec PAK
"M. le Ministre,
Soyez davantage clair avec les promoteurs. Au nom de prétendues viabilisations (puisqu’elles consistent essentiellement selon ses promoteurs à négocier l’eau et l’électricité avec l’ONEA et la SONABEL, le reste est similaire au lotissement traditionnel des communes sans aménagement conséquent), on vent les parcelles de 300m2 à près de 6 millions FCFA. C’est de l’arnaque pure. Ailleurs, le promoteur peut juste recevoir 5 hectares maximum après présentation d’un plan qui pourrait absorber au moins de 15000 habitants y compris les infrastructures sociales ; ces promoteurs construiront forcement en hauteur en systèmes d’appartements. Au Burkina Faso, on négocie 100 hectares par-ci, 200 par là, et chaque promoteur devient un vendeur de parcelles à des prix révoltant le citoyen moyen et pauvre. Et après, on s’étonne que des populations se révoltent.
Si l’Etat était exigeant, tout ce que les promoteurs ont fait à Ouagadougou y compris ses succursales pouvaient se contenir dans moins de 500 hectares."