« Ça m’étonne qu’une trentaine de partis politiques se réunissent pour pondre un argument aussi bas, aussi terre-à-terre », Zéphirin Diabré au sujet de la réaction de la majorité présidentielle sur le meeting du 29 avril

C’est honteux pour le Burkina Faso, qu’après une insurrection populaire, des dirigeants veuillent étouffer des revendications socio-politiques en ayant pour motif : les attaques terroristes. Ce prototype de dirigeant est dépassé, nous voulons des dirigeants de la nouvelle génération qui savent intégrer toutes les situations dans leur gouvernance. J’ignorais que clamer haut et fort "Maîtriser le terrain, la situation et la réalité du Faso", c’est prendre cette réalité comme entrave à un programme de développement. CFOP ! vous jouez pleinement votre rôle et que chacun joue le sien, vous verrai que le Faso ira mieux. Non aux systèmes mafieux qui épuisent plus nos énergies inutilement que si celles-ci étaient mises à profit du développement !