Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Promotion des langues nationales du Burkina Faso (1/3) : Du San à l’ONU ? Pas de quoi voir rouge !
15 avril 2017, 11:09, par
TRAORE JACQUES
Quand la diplomatie se révèle dans la pureté de sa culture générale !
Merci au doyen de nous éclairer notamment sur notre "inculture" qui définit les frontières
d’un complexe que nous trainons à ne trouver que comme mode de communication vraie et porteuse que seule la langue qui vient de loin !
Vivement que l’Ambassadeur Ouédraogo propose une rencontre - appelons-la comme on voudra : conférence, séminaire ...- sur ce sujet !
Sa préoccupation rejoint, dans une certaine limite, celle du Président Sankara qui suggérait, à l’époque déjà, qu’on enseignât les 4 trois langues les plus parlées d’Afrique ( le bambara, le swahili, le haoussa et l’arabe ) dans tous les pays du continent, avec les avantages que l’on pourrait y reconnaître .
Et le Président du Faso commençait à "marmonner" quelques mots de nos langues nationales dans ses discours , ne serait-ce que celles de fin d’année, avant qu’on ne pense à la tribune des Nations Unies !
Enfin, je m’étais laissé à croire qu’on était jamais ANCIEN DIPLOMATE !
UN DIPLOMATE DE CARRIERE L’EST A VIE ! TOUT COMME UN MEDECIN !
LES DIPLOMATES DE CIRCONSTANCE POURRAIENT, EUX, ETRE QUALIFIES
D’ " ANCIENS ..."
Quand la diplomatie se révèle dans la pureté de sa culture générale !
Merci au doyen de nous éclairer notamment sur notre "inculture" qui définit les frontières
d’un complexe que nous trainons à ne trouver que comme mode de communication vraie et porteuse que seule la langue qui vient de loin !
Vivement que l’Ambassadeur Ouédraogo propose une rencontre - appelons-la comme on voudra : conférence, séminaire ...- sur ce sujet !
Sa préoccupation rejoint, dans une certaine limite, celle du Président Sankara qui suggérait, à l’époque déjà, qu’on enseignât les 4 trois langues les plus parlées d’Afrique ( le bambara, le swahili, le haoussa et l’arabe ) dans tous les pays du continent, avec les avantages que l’on pourrait y reconnaître .
Et le Président du Faso commençait à "marmonner" quelques mots de nos langues nationales dans ses discours , ne serait-ce que celles de fin d’année, avant qu’on ne pense à la tribune des Nations Unies !
Enfin, je m’étais laissé à croire qu’on était jamais ANCIEN DIPLOMATE !
UN DIPLOMATE DE CARRIERE L’EST A VIE ! TOUT COMME UN MEDECIN !
LES DIPLOMATES DE CIRCONSTANCE POURRAIENT, EUX, ETRE QUALIFIES
D’ " ANCIENS ..."