Le mouvement citoyen « Y’EN A MARRE » à la CODER : « La réconciliation nationale est une question nationale et elle ne saurait se limiter à des accommodements… »

Les élucubrations de Ablassé Ouédraogo suite à la visite de la coder à Jubal ressemble bien à un dernier baroud d’honneur d’une proie agonisante. Pour les autres de la bande, il semble qu’ils sont en quête d’une résurrection auprès d’un manitou lui-même pris dans ses propres rets et dont les rugissements et ricanements ne le purent défaire. Sires hyènes accoururent et firent tant par des hurlements que la maisonnée alertée comprit les manèges de ces rapaces et vautours. Qu’ils le comprennent une fois pour toute. Le peuple est et reste tolérant mais ne saurait être indifférente face à la provocation. Ces apatrides et leurs valets de l’intérieur ont suffisamment spolié le pays, meurtri des cœurs, brisé des familles pour penser en être absolus en un tour de bras. Ils vont d’abord payer pour leurs fautes avant de regagner le cercle de famille. Quand on s’excommunie soi-même, on demande la voie à suivre et les sacrifices à faire pour accéder à la demande de pardon plutôt qu’indiquer aux sages les offrandes que l’on est prêts à donner pour espérer voir des vœux exhaussés. Qu’ils reviennent donc à la raison et acceptent que c’est celui qui accorde le pardon qui en détermine les conditions. Notre culture, nos coutumes et tous nos cultes fonctionnent sur ce principe élémentaire. Qu’ils attendent l’heure de la confession pour savoir la peine expiatoire en sacrifice qui sera leur infligée pour obtenir la grâce souhaitée. Brave compatriotes de la coder et parrains apatrides, à bon entendeur salut.