Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Réconciliation nationale : La CODER a rencontré Blaise Compaoré à Abidjan
13 avril 2017, 10:29, par
Sidpasata Veritas
Le peuple burkinabè n’est pas divisé au point d’avoir besoin d’organiser une réconciliation nationale : DITES-NOUS QUI EST EN CONFLIT AVEC QUI ET POUR QUELLE RAISON AU POINT QUE LA RÉCONCILIATION ENTRE CES BELLIGÉRANTS PUISSE ÊTRE REÇUE COMME UNE CAUSE NATIONALE. Sinon, nous n’allons pas nous laisser distraire par ceux qui essayaient, avant l’insurrection, de nous démontrer que la modification de l’article 37 était nécessaire pour la paix sociale de notre pays.
Par contre, aujourd’hui comme hier (quand Blaise était au pouvoir) les burkinabè ont SOIF et TRÈS SOIF que justice soit enfin rendue pour les crimes de sang et les crimes économiques commis sous le régime précédent dont la règle d’or était celle de l’impunité.
Alors, messieurs de la CODER, à qui vous adressez-vous et pour qui roulez vous : attention de ne pas trop réveiller contre vous les rancœurs que les burkinabè ont tu jusqu’à présent, au prix des grands efforts de tolérance. ATTENTION, N’ESSAYEZ PAS D’ABUSER UNE FOIS DE PLUS DE NOTRE PATIENCE, CAR PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT !
Le peuple burkinabè n’est pas divisé au point d’avoir besoin d’organiser une réconciliation nationale : DITES-NOUS QUI EST EN CONFLIT AVEC QUI ET POUR QUELLE RAISON AU POINT QUE LA RÉCONCILIATION ENTRE CES BELLIGÉRANTS PUISSE ÊTRE REÇUE COMME UNE CAUSE NATIONALE . Sinon, nous n’allons pas nous laisser distraire par ceux qui essayaient, avant l’insurrection, de nous démontrer que la modification de l’article 37 était nécessaire pour la paix sociale de notre pays.
Par contre, aujourd’hui comme hier (quand Blaise était au pouvoir) les burkinabè ont SOIF et TRÈS SOIF que justice soit enfin rendue pour les crimes de sang et les crimes économiques commis sous le régime précédent dont la règle d’or était celle de l’impunité.
Alors, messieurs de la CODER, à qui vous adressez-vous et pour qui roulez vous : attention de ne pas trop réveiller contre vous les rancœurs que les burkinabè ont tu jusqu’à présent, au prix des grands efforts de tolérance. ATTENTION, N’ESSAYEZ PAS D’ABUSER UNE FOIS DE PLUS DE NOTRE PATIENCE, CAR PLUS RIEN NE SERA COMME AVANT !