Composition du bureau exécutif du MPP à l’issue de son IIème Congrès

Je valide les différents constats. Mais soyons pas surpris que le terrorisme prend de l’ampleur parce qu’en dehors des ressortissants du Plateau Mossi ouvert au Yatenga, les fils des autres localités font de la figuration. Et ils aiment se faire accompagner par des Gurunsi et des Samo ou quelques rare fois des dagari. Dans ce cocktail de régression nationale, l’incompétence, l’immobilisme, la traîtrise, la félonie et le népotisme sont érigés en règle de gouvernement. Ce sont les mêmes qui fait tomber la révolution pour instaurer leurs bêtises faisant la risée du monde. Que les Anciens rappellent aux jeunes, comment était perçu un voltaïque ; il était l’incarnation de la misère du monde. Les traîtres à la révolution sont toujours là et bien installés ; ils n’ont fait qu’user du mécontentement de la population pour se débarrasser de Compaoré.
Rien ne changera dans ce pays tant que certains mossi (rétrogrades) ne changeront pas de vision du monde et la gestion du pouvoir : les femmes sont foutues, les bissa peuvent changer de pays, les gourmantché et les peulh du Sahel peuvent choisir d’être maliens ou nigériens et les personnes intelligentes n’auront leur salut qu’à l’extérieur du pays.

Je dépeins en noir la réalité souterraine qui nous gouverne depuis l’élimination de Thomas Sankara. Je demeure convaincu que le caractère ethnique des intentions de ses bourreaux l’ont amener à consentir au sacrifice suprême.
Ceci est une réelle mise en garde pour éviter l’implosion du pays. Attention, l’éthnicisme sera le tombeau de la république.