Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
MPP : ‘’S’élever au-dessus du sectarisme pour construire un vrai parti de gauche‘’, vision du nouveau président, Dr Salifou Diallo
13 mars 2017, 12:39, par
Jean-Christian Delmas-Marsalet
Comme disait Pierre-Yves Martin, "être de gauche est défini par quoi ?"
Le premier axe fondateur : le pouvoir politique par et pour tous, par opposition à la domination, indirecte ou pas, des grands groupes financiers mondiaux. Cela passe d’abord par une vraie démocratie : pluralité et indépendance des médias, liberté d’expression et de dénonciation publique, referendum pour certaines décisions essentielles, loi électorale permettant de vrais changements, par opposition aux lois électorales qui imposent l’alternance de deux équipes qui font à peu près la même politique.
Deuxième axe : une vraie laïcité, tolérante, respectueuse et sans brimades anti-religieuses (du genre interdiction du voile) satisferait le deuxième critère.
Ne pas oublier l’internationalisme qui pose un vrai problème. Il était conçu comme la solidarité des peuples pour éviter qu’on les dresse les uns contre les autres. Actuellement, la seule véritable internationale est celle des grands groupes financiers. Et bien sûr, il faut ajouter un autre axe, de plus en plus prégnant : l’écologie.
Comme disait Pierre-Yves Martin, "être de gauche est défini par quoi ?"
Le premier axe fondateur : le pouvoir politique par et pour tous, par opposition à la domination, indirecte ou pas, des grands groupes financiers mondiaux. Cela passe d’abord par une vraie démocratie : pluralité et indépendance des médias, liberté d’expression et de dénonciation publique, referendum pour certaines décisions essentielles, loi électorale permettant de vrais changements, par opposition aux lois électorales qui imposent l’alternance de deux équipes qui font à peu près la même politique.
Deuxième axe : une vraie laïcité, tolérante, respectueuse et sans brimades anti-religieuses (du genre interdiction du voile) satisferait le deuxième critère.
Ne pas oublier l’internationalisme qui pose un vrai problème. Il était conçu comme la solidarité des peuples pour éviter qu’on les dresse les uns contre les autres. Actuellement, la seule véritable internationale est celle des grands groupes financiers. Et bien sûr, il faut ajouter un autre axe, de plus en plus prégnant : l’écologie.