‘’Les Burkinabè sont de plus en plus déçus du pouvoir MPP qui, pourtant ... ‘’, Dr Ablassé Ouédraogo, président sortant de la CODER

Tous les politiques de notre pays avec arrogance viennent sur la presse écrite et sur les réseaux sociaux crier la même chose depuis Décembre 2015 après la transition. Et en lisant quelques internautes, j’ai envies de les poser quelques question : ‘’’Exemple que ça soit les RSS, ou Ablassé Ouédraogo avec ses sorties haineuse, quel politicien qui s’est attarder à regarder en arrière avec ce que les jeunes ont fait le 31 Octobre 2014 pour qu’une alternance politique puisse avoir jour après les 27 ans des RSS et le même Ablassé Ouédraogo, car tous ces politiques étaient autour de Blaise Compapré sauf la jeunesse. A mon avis, avec le président élu par plus 50% par le peuple après la bravoure de la jeunesse, pour une gouvernance solide sans faiblesse, autour de ce président, mérite 70% de la jeunesse, et je pense que ça sera fait au prochain gouvernement. Que valent les RSS, ou Ablassé Ouédraogo sans la jeunesse ? Les préoccupations quotidiennes du peuple que la jeunesse voulait prendre en main, sont oubliés par les RSS, même Ablassé Ouédraogo avec sa haine ne le parle pas, ils s’occupent que des vengeances, les libérations des amis et familles détenus. Que sont devenues les promesses d’éradiquer la corruption à ciel ouverts ? Les crimes impunis ? Les revenus des ménages qui sont incertains ? Et d’autres tiennent que leurs boites de nuit, les entretiens de leurs immeubles et sociétés écrans ? Le chômage des jeunes est plus galopant. La pauvreté et les perspectives du lendemain pour 98% du peuple sont sombres. Que ça soit les RSS, Ablassé Ouédraogo avec sa langue qui tourne sans frein, construire un Burkina meilleur n’est pas pour aujourd’hui sans les compétences de la jeunesse qu’ils oublient. Prétendre comme les RSS et Ablassé Ouédraogo et sa CODER de construire le Burkina qui sera émergeant et un état de droit, sans mettre la jeunesse compétente a la place qu’il faut, que des vieux comme moi à la porte de la retraite éternelle, c’est courir à l’échec.