Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Projet d’attaque de la MACA : 15 ans de prison ferme pour Madi, 10 ans pour 15 de ses camarades
19 janvier 2017, 17:25, par
Jubal
Ce procès est simplement une insulte à l’intelligence des Burkinabè et une honte pour toute l’armée nationale. Comment est-ce possible que le jour où on décide de retirer les enregistrements sonores c’est en même temps le verdict qui tombe. Comme c’est une affaire de Zida, le Balai citoyen ne pipe aucun mot. Silence complice quand tu nous tiens ! La vidéo où il était clairement question de la tentative de Zida de tuer les généraux n’a pas été retenue par le tribunal. Si l’enregistrement audio est invalidé par le juge, où se trouve donc le complot ? Une seule fois où Madi aurait invité des camarades chez lui est-il suffisant pour l’emprisonner à 15 ans ferme ? Des gens ont conduit des militaires au campus en 1990 pour bastonner et tuer des étudiants, le tribunal militaire s’en moque. Pourtant même le MBDHP serait au courant des actions de celui qui est au perchoir. Quelle honte !
Ce procès est simplement une insulte à l’intelligence des Burkinabè et une honte pour toute l’armée nationale. Comment est-ce possible que le jour où on décide de retirer les enregistrements sonores c’est en même temps le verdict qui tombe. Comme c’est une affaire de Zida, le Balai citoyen ne pipe aucun mot. Silence complice quand tu nous tiens ! La vidéo où il était clairement question de la tentative de Zida de tuer les généraux n’a pas été retenue par le tribunal. Si l’enregistrement audio est invalidé par le juge, où se trouve donc le complot ? Une seule fois où Madi aurait invité des camarades chez lui est-il suffisant pour l’emprisonner à 15 ans ferme ? Des gens ont conduit des militaires au campus en 1990 pour bastonner et tuer des étudiants, le tribunal militaire s’en moque. Pourtant même le MBDHP serait au courant des actions de celui qui est au perchoir. Quelle honte !