Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise à la CAMEG : Le personnel en sit-in pour une semaine
8 septembre 2016, 07:28, par
Cheick Omar
#incivisme au sommet de l’état
Après le hold up électoral, voici que cette troïka bancal nous embarque vers des lendemains plus qu’incertains. Jusqu’ici, le peuple des insurgés, c’est-à-dire le peuple burkinabè, vivait d’espérance sur la capacité de ce pouvoir hybride à nous mener vers le développement. Mais que nenni. Pire, le doute s’est définitivement installé et par moment, on chasse de nos pensée l’hypothèse que le régime déchu n’aurait pas agi avec un tel déraisonnement. On en arrive ainsi souvent à regretter le régime du dictateur Blaise Compaoré. A cette époque, les trois ténors, qui chantent faux, avaient au moins une peur bleue du président Compaoré (qui est fou ?). Mais après une virée de quelques semaines dans l’opposition, il se sont accaparés le pouvoir dans des circonstances que l’on sait (Dieu les voit). Le mensonge, comme le dit l’adage donne des fleurs, mais pas de fruits. Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes du pays, chacun veut s’enrichir en vitesse. Aujourd’hui, le pays va à vau-l’eau et personne pour siffler la fin de la récréation. Après la CNSS, aujourd’hui la CAMEG et demain sera le tour d’une autre boite pour assouvir l’appétit de nos princes régnants. Quand une nation est dirigée un collège d’aventuriers aux nuques raides, c’est sont avenir qui est fortement compromis. Mais c’est Dieu qui est fort.
#incivisme au sommet de l’état
Après le hold up électoral, voici que cette troïka bancal nous embarque vers des lendemains plus qu’incertains. Jusqu’ici, le peuple des insurgés, c’est-à-dire le peuple burkinabè, vivait d’espérance sur la capacité de ce pouvoir hybride à nous mener vers le développement. Mais que nenni. Pire, le doute s’est définitivement installé et par moment, on chasse de nos pensée l’hypothèse que le régime déchu n’aurait pas agi avec un tel déraisonnement. On en arrive ainsi souvent à regretter le régime du dictateur Blaise Compaoré. A cette époque, les trois ténors, qui chantent faux, avaient au moins une peur bleue du président Compaoré (qui est fou ?). Mais après une virée de quelques semaines dans l’opposition, il se sont accaparés le pouvoir dans des circonstances que l’on sait (Dieu les voit). Le mensonge, comme le dit l’adage donne des fleurs, mais pas de fruits. Au lieu de s’attaquer aux vrais problèmes du pays, chacun veut s’enrichir en vitesse. Aujourd’hui, le pays va à vau-l’eau et personne pour siffler la fin de la récréation. Après la CNSS, aujourd’hui la CAMEG et demain sera le tour d’une autre boite pour assouvir l’appétit de nos princes régnants. Quand une nation est dirigée un collège d’aventuriers aux nuques raides, c’est sont avenir qui est fortement compromis. Mais c’est Dieu qui est fort.