Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lettre ouverte au PDG de TCV : Quand le voyage de confort devient la croix et la bannière !
29 août 2016, 15:29, par
Dramane
J ai vécu le même calvaire le 16 avril de cette même année. Ce jour la, en compagnie d’un collègue, j’ai emprunté un car de TCV pour Abidjan à ouaga la veille 15 avril. Le début du cauchemar de ce voyage s’est produit à Toussiana avec une première panne colmatée par un mécanicien venu de Bobo-Dioulasso . Le mécanicien à alimenter le car avec des bidons d’huile de moteur après avoir coller un tuyau de conduit d’huile .
Après deux heures d’attente nous avions poursuivi le voyage avec le même car malgré l’inquiétude des passagers qui demandaient à ce que TCV change de véhicule. Car à l’entrée de ce véhicule en gare les passagers ont remarqué qu’il piaffait et dégageait beaucoup de fumée.
Après environ trois heures de route survenait une seconde panne. Une barre de fer détachée du train arrière du véhicule traçait un sillon dans le bitume lorsqu’il avançait. C’était au tour du convoyeur et du chauffeur de s’improviser en mécanicien . Nous poursuivions notre aventure après encore une longue attente. Assis au premiers loges derrière le chauffeur, je l’entendais dire au convoyeur qu’il avait un problème d’éclairage. En effet, c’est à l’aide d’une lampe torche tenue en main par le convoyeur qui a permis au chauffeur de rejoindre le premier village ou nous avons passé la nuit dans les conditions les plus imaginables.
Le lendemain matin, un camionneur de passage connecta sa batterie à celle de notre car et nous arrivames à la gare D’abobo à Abidjan le 18 avril aux envrions de 20 heures sans aucun feu d’éclairage . A notre passage en ville j’ai entendu des riverains nous lancer cette pique" c’est comme ça qu’on roule au Burkina" . Faisant allusion sans doute parce que nous roulions sans aucun feu. Je fais l’économie des autres désagréments de ce voyage pour ne pas être trop long.
J ai vécu le même calvaire le 16 avril de cette même année. Ce jour la, en compagnie d’un collègue, j’ai emprunté un car de TCV pour Abidjan à ouaga la veille 15 avril. Le début du cauchemar de ce voyage s’est produit à Toussiana avec une première panne colmatée par un mécanicien venu de Bobo-Dioulasso . Le mécanicien à alimenter le car avec des bidons d’huile de moteur après avoir coller un tuyau de conduit d’huile .
Après deux heures d’attente nous avions poursuivi le voyage avec le même car malgré l’inquiétude des passagers qui demandaient à ce que TCV change de véhicule. Car à l’entrée de ce véhicule en gare les passagers ont remarqué qu’il piaffait et dégageait beaucoup de fumée.
Après environ trois heures de route survenait une seconde panne. Une barre de fer détachée du train arrière du véhicule traçait un sillon dans le bitume lorsqu’il avançait. C’était au tour du convoyeur et du chauffeur de s’improviser en mécanicien . Nous poursuivions notre aventure après encore une longue attente. Assis au premiers loges derrière le chauffeur, je l’entendais dire au convoyeur qu’il avait un problème d’éclairage. En effet, c’est à l’aide d’une lampe torche tenue en main par le convoyeur qui a permis au chauffeur de rejoindre le premier village ou nous avons passé la nuit dans les conditions les plus imaginables.
Le lendemain matin, un camionneur de passage connecta sa batterie à celle de notre car et nous arrivames à la gare D’abobo à Abidjan le 18 avril aux envrions de 20 heures sans aucun feu d’éclairage . A notre passage en ville j’ai entendu des riverains nous lancer cette pique" c’est comme ça qu’on roule au Burkina" . Faisant allusion sans doute parce que nous roulions sans aucun feu. Je fais l’économie des autres désagréments de ce voyage pour ne pas être trop long.