Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
L’Union de la Gauche Extra Parlementaire (UGEP) demande de faire du 4 août un jour chômé et célébré
4 août 2016, 12:55, par
ka
Amen, que Dieu tout puissant veille sur cet homme, fils de toute l’Afrique, et sa famille : Il est important de se souvenir que le passé reste la racine de l’état. Les femmes et les hommes avec des idées créatives et doué à rassembler les masses, restent les piliers des nations. Comme nous faisait rappeler le père de la révolution inachevée Thomas Sankara, les grands hommes qui ont marqué l’histoire de l’Afrique en donnant les espérances a des démunies de tout le continent, qui sont ‘’’Lumumba, Nkrumah, Cabral, Biko et tant d’autres, sont le tronc de l’Afrique.’’’ Il ajoutera, ces hommes, Nkruma, Naser et Lumumba, étaient les valeurs de l’Afrique qui avaient vu juste quant aux problèmes que nous vivons aujourd’hui, dont nous les avons pas donné raison. Et moi j’ajoute que le 4 Août 1983, est l’occasion de se souvenir de Thomas Sankara, le fils doué et incompris du continent qu’on regrette de ne pas avoir écouté. Vive le Burkina : ‘’’’La patrie ou la mort nous vaincrons.’’’’
Amen, que Dieu tout puissant veille sur cet homme, fils de toute l’Afrique, et sa famille : Il est important de se souvenir que le passé reste la racine de l’état. Les femmes et les hommes avec des idées créatives et doué à rassembler les masses, restent les piliers des nations. Comme nous faisait rappeler le père de la révolution inachevée Thomas Sankara, les grands hommes qui ont marqué l’histoire de l’Afrique en donnant les espérances a des démunies de tout le continent, qui sont ‘’’Lumumba, Nkrumah, Cabral, Biko et tant d’autres, sont le tronc de l’Afrique.’’’ Il ajoutera, ces hommes, Nkruma, Naser et Lumumba, étaient les valeurs de l’Afrique qui avaient vu juste quant aux problèmes que nous vivons aujourd’hui, dont nous les avons pas donné raison. Et moi j’ajoute que le 4 Août 1983, est l’occasion de se souvenir de Thomas Sankara, le fils doué et incompris du continent qu’on regrette de ne pas avoir écouté. Vive le Burkina : ‘’’’La patrie ou la mort nous vaincrons.’’’’