Affaire abattage d’ânes à Ballolé : L’Association des journalistes du Burkina condamne la séquestration de ses confrères
27 juillet 2016, 14:39, par
0ben
Je suis d’accord avec les riverains pour les questions de pollutions. LA société devrait prendre des dispositions pour eviter cela. MAis, ce n’est pas parce que vous êtes des "journalistes" que vous allez vous permettre de photographier et enregistrer sans autorisation. vous n’êtes pas des gendarmes pour dire que vous faites des enquêtes. on ne fait pas des prises de vue et des enregistrements sans l’autorisation de la personne concernée. On est où ? Écoutez, songer à former vous "journaleux". Si non vous ne pouvez pas empecher de condamner les delis de presse avec des sois disants journalistes qui se debrouillent pour se munir d’un telephone portable pour les photo et les enregistrements.
Personne ne peut photographier de loin ma maison et faire des publications sans mon autorisation. Ailleurs, au moins, il y a des loin qui defendent cela. Et voila un syndicat de presse qui s’empresse chaque fois pour faire des declarations farfelues.
Je suis d’accord avec les riverains pour les questions de pollutions. LA société devrait prendre des dispositions pour eviter cela. MAis, ce n’est pas parce que vous êtes des "journalistes" que vous allez vous permettre de photographier et enregistrer sans autorisation. vous n’êtes pas des gendarmes pour dire que vous faites des enquêtes. on ne fait pas des prises de vue et des enregistrements sans l’autorisation de la personne concernée. On est où ? Écoutez, songer à former vous "journaleux". Si non vous ne pouvez pas empecher de condamner les delis de presse avec des sois disants journalistes qui se debrouillent pour se munir d’un telephone portable pour les photo et les enregistrements.
Personne ne peut photographier de loin ma maison et faire des publications sans mon autorisation. Ailleurs, au moins, il y a des loin qui defendent cela. Et voila un syndicat de presse qui s’empresse chaque fois pour faire des declarations farfelues.