Gérer l’après Compaoré : Réflexion sur la « politique ivoirienne » du nouveau pouvoir burkinabè

Trop long et pas synthétique pour un site d’infos quotidiennes qui n’est pas le lieu d’un compte rendu de lecture d’étudiant.
Vite fait, je l’ai parcouru votre topo qui reste pour moi un raté total ; en ce sens qu’ici, on est toujours dans la continuité de la trahison de l’indépendance de notre peuple. Indépendance qui reste à conquérir.
Avec Roch C. Kaboré, Salif Diallo, Simon Compaoré, Barry Alpha, et autres Palm Jean Marc...il n’y a pas un après Compaoré. Il y a tout simplement cette continuité néocoloniale, bancocratique et prédatrice.
L’habillage et tout le maquillage soit disant social-démocrate, c’est à dire de deuxième-droite toute autant réactionnaire et affairiste n’y change rien à l’affaire, mais confirme bien cette continuité de la pourriture au pouvoir au Burkina-Faso en lien avec les forces sociales politiques et religieuses les plus rétrogrades.
Na an lara an sara !