Gérer l’après Compaoré : Réflexion sur la « politique ivoirienne » du nouveau pouvoir burkinabè

eje pense qu’il n’aurait pas été unutile d’insister sur l’interpedendance à la fois économique, social et culturelle des 2 pays. à propos des ressources limitees du Burkina, je pense qu’il faut pas ignorer le role preeminent de la ressource humaine qui constitue le potentiel du Burkina sFaso.. aussi il y a lien évident entre la qualité de sa diplomatie et sa capacité à regler certaines questions qui demandent la mobilisation de ressources financieres (comme la question du chomage que vous evoquez) pour des pays a ressources naturelles comme le Burkina. En définitive, il faut le dire net, les deux pays sont condamnés à s entendre, et toute detioratiion de leurs relations aura des impacts sur l ensemble de la sous region. en cela, il faut saluer l option diplomatique du nouveau régime face à des positions de haine et de passion. Enfin le choix des hommes au sommet de l’Etat est un élément déterminant du rayonnement diplomatique du pays. il me semble malheureusement que le regime de Rock a choisi de priviligier les considérations d’amitié à celled de compétences.