Des manifestants exigent la libération des Koglweogo arrêtés dans le quartier Zongo de Ouagadougou

Vous voyez ? Que ceux qui ont des esprits assez libérés comprennent, mais le peu que l’on puisse dire c’est que ce phénomène de Koglweogo devenu "Koglgalotenga" ne nous amenera nul part si ce n’est à la dérive.
Peut-on encadrer quelqu’un qui ne comprend même pas ce que signifie le mot encadrement ?
Je pense tout simplement que ce sera peine perdue que d’investir des kilocalories pour encadrer un élève qui n’a même pas le niveau du CM pour qu’il obtienne un baccalauréat.
Ceux qui pensent que ceux ne défendent pas l’idée des Koglweogo sont des gens qui ne connaissent pas les réalités de la campagne se détrompent. Je vis personnellement en campagne, mieux je suis éleveur avec plusieurs têtes de boeufs à ma possession.
Certe perdre un taureau à l’heure où je vous parle serait un cauchmar pour moi, mais loin d’être arrogant, je pense tout simplement que ce dernier cas serait préférable à une cohésion sociale mise à mal et remise en cause.
Que ceux qui ont des yeux observent bien et que ce qui ont des des oreilles écoutent ; je ne voudrais pas être comme ceux qui promettent malheur à ma chère patrie, cependant ça n’arrive pas qu’aux autres. On a alors pas besoin d’être devin pour comprendre que cette affaire nous conduit vers l’ouverture des portes de l’enfer promise par un éminent professeur de droit.
L’on pouvait avoir espoir il y a quelques semaines quant à un éventuel encadrement qui conduirait au changement d’attitude de nos soi-disant protecteurs, mais aujourd’hui la mission est desormais impossible surtout que de politiciens véreux après avoir été enterré avec le soulèvement populaire tentent leur va-tout afin d’espérer leur résurrection prochaine par la récupération d’une masse paysanne et analphabète.
Finis les débat. Que l’état fasse respecter les normes républicaines.