Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Unité d’action syndicale : Une assemblée générale en attendant les mots d’ordre de grève
18 avril 2016, 10:50, par
SAMSON
Nabiga01, la grande majorité des paysans vivent sur le dos de leurs enfants et frères fonctionnaires. Les fonctionnaires se plaindraient moins si leur salaire servait uniquement aux besoins de leur petite famille. Malheureusement, les fonctionnaires sont obligés de partager leur maigre salaire avec les paysans (parents). En effet, pendant les périodes de soudure, il faut envoyer des sacs de maïs et de mil au village, quand ils sont malades il faut faire un geste, leurs enfants admis à l’université vivent souvent sous nos toits (petits frères, cousins, nièces, etc.). Ce qui est une bonne chose car cela fait partie de nos valeurs (la solidarité), mais nos ressources demeurent maigres. Personnellement, j’ai en plus de ma petite famille, deux (02) enfants de parents paysans à ma charge (qui vivent avec moi). Et nombreux sont les fonctionnaires qui sont dans ma situation.
Juste dire qu’il ne faut aucunement opposer les intérêts des fonctionnaires à ceux des paysans car on vit la même galère. Mais mon écrit n’enlève en rien la justesse de votre écrit qui est aussi mu par l’intérêt supérieur de notre chère patrie que nous aimons tous !
Nabiga01, la grande majorité des paysans vivent sur le dos de leurs enfants et frères fonctionnaires. Les fonctionnaires se plaindraient moins si leur salaire servait uniquement aux besoins de leur petite famille. Malheureusement, les fonctionnaires sont obligés de partager leur maigre salaire avec les paysans (parents). En effet, pendant les périodes de soudure, il faut envoyer des sacs de maïs et de mil au village, quand ils sont malades il faut faire un geste, leurs enfants admis à l’université vivent souvent sous nos toits (petits frères, cousins, nièces, etc.). Ce qui est une bonne chose car cela fait partie de nos valeurs (la solidarité), mais nos ressources demeurent maigres. Personnellement, j’ai en plus de ma petite famille, deux (02) enfants de parents paysans à ma charge (qui vivent avec moi). Et nombreux sont les fonctionnaires qui sont dans ma situation.
Juste dire qu’il ne faut aucunement opposer les intérêts des fonctionnaires à ceux des paysans car on vit la même galère. Mais mon écrit n’enlève en rien la justesse de votre écrit qui est aussi mu par l’intérêt supérieur de notre chère patrie que nous aimons tous !