Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Suspension de l’Evénement : Les organisations professionnelles des médias remontées contre le CSC
25 mars 2016, 16:08, par
OLASS
Ces conférenciers semblent se préoccuper plus de la vie du journal l’Evènement que toute autre chose. Ils auraient dû nous dire ce qu’ils pensent de l’article sur les poudrières que le journal a présenté et qui fait l’objet de sa suspension. Ce n’est pas toute faille des textes qui est bien à exploiter. Les conférenciers ne peuvent pas nous convaincre que l’Evènement est dans son bon droit de présenter des informations qui compromettent la sécurité du peuple Burkinabè. Je leur propose de mettre de l’ordre dans leurs rangs et laver le linge sale en famille. Il n’ y a aucun acharnement comme vous voulez nous faire comprendre, ayez le courage de dire à l’Evènement de revoir sa copie, ce serait mieux pour tout le monde. J’étais un lecteur fidèle de ce journal mais aujourd’hui je ne le suis plus parce que je ne me retrouve plus dans ses écrits, donc ses dernières dérives ne m’ont pas surpris. Toutes manières de se disculper dans cette affaire ne font que les éloigner de leur lectorat. Les journalistes n’ont qu’à comprendre qu’ils sont des citoyens comme les autres, si tout n’est pas permis chez le citoyen lambda, tout n’est pas aussi permis chez eux. Nous soutenons le CSC dans son rôle de régulation, les défaillances qu’il présente se corrigeront au fur et à mesure ; aux journaliste de se mettre au pas s’ils veulent être utiles pour le pays et non à eux seuls.
Ces conférenciers semblent se préoccuper plus de la vie du journal l’Evènement que toute autre chose. Ils auraient dû nous dire ce qu’ils pensent de l’article sur les poudrières que le journal a présenté et qui fait l’objet de sa suspension. Ce n’est pas toute faille des textes qui est bien à exploiter. Les conférenciers ne peuvent pas nous convaincre que l’Evènement est dans son bon droit de présenter des informations qui compromettent la sécurité du peuple Burkinabè. Je leur propose de mettre de l’ordre dans leurs rangs et laver le linge sale en famille. Il n’ y a aucun acharnement comme vous voulez nous faire comprendre, ayez le courage de dire à l’Evènement de revoir sa copie, ce serait mieux pour tout le monde. J’étais un lecteur fidèle de ce journal mais aujourd’hui je ne le suis plus parce que je ne me retrouve plus dans ses écrits, donc ses dernières dérives ne m’ont pas surpris. Toutes manières de se disculper dans cette affaire ne font que les éloigner de leur lectorat. Les journalistes n’ont qu’à comprendre qu’ils sont des citoyens comme les autres, si tout n’est pas permis chez le citoyen lambda, tout n’est pas aussi permis chez eux. Nous soutenons le CSC dans son rôle de régulation, les défaillances qu’il présente se corrigeront au fur et à mesure ; aux journaliste de se mettre au pas s’ils veulent être utiles pour le pays et non à eux seuls.