Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Justice : « Pour une justice indépendante », les magistrats persistent et signent
2 mars 2016, 10:28, par
peace
La réponse à donner à ce mouvement de grève des magistrats constituerait une marque de restauration de l’autorité de l’état dans le contexte actuel. Certes, les magistrats revendiquent l’adoption des décret d’application gage de l’indépendance totale de la justice suite aux recommandations des états généraux de la justice ; mais au stade actuel la grève reste et demeure inopportune. Pour les raisons suivantes :
le pays vient de loin et les indicateurs financiers sont au rouge, raison pour laquelle aucune décision ayant une incidence financière supplémentaires sur les finances publiques ne pourrait être adopté sans l’établissement d’un état des lieux
la justice burkinabe aujourd’hui souffre plus de sa morale ( l affairisme,corruption, démagogie, une génération de juges recruté sans enquête de moralité préalable prêts à monnayé leur dignité et honneur) que de problème institutionnel
l’une des priorités de l’actuel régime devrait être la prise de mesure forte à effet immédiat sur le quotidien du burkinabe moyen à savoir l’abaissement du prix du carburant au regard de l’effondrement du prix du baril de pétrole, la de fiscalisation de certain denrées de grande consommation et les matériaux de construction
on est tous unanime que l’administration c’est la continuité, mais aussi l’administration c’est la régulation, l’ajustement, la correction, et le réalisme. La transition à tracé les sillons d’une justice indépendante mais reconnaissons que c’est pas pour autant que le magistrat burkinabe va revendiquer le salaire du juge sénégalais, ivoirien ou camerounais. Il s’agit d’une vue de l’esprit déplacée car au même moment, il oublie de comparer les ressources propres du BF à celles des pays référentiels.
La réponse à donner à ce mouvement de grève des magistrats constituerait une marque de restauration de l’autorité de l’état dans le contexte actuel. Certes, les magistrats revendiquent l’adoption des décret d’application gage de l’indépendance totale de la justice suite aux recommandations des états généraux de la justice ; mais au stade actuel la grève reste et demeure inopportune. Pour les raisons suivantes :
le pays vient de loin et les indicateurs financiers sont au rouge, raison pour laquelle aucune décision ayant une incidence financière supplémentaires sur les finances publiques ne pourrait être adopté sans l’établissement d’un état des lieux
la justice burkinabe aujourd’hui souffre plus de sa morale ( l affairisme,corruption, démagogie, une génération de juges recruté sans enquête de moralité préalable prêts à monnayé leur dignité et honneur) que de problème institutionnel
l’une des priorités de l’actuel régime devrait être la prise de mesure forte à effet immédiat sur le quotidien du burkinabe moyen à savoir l’abaissement du prix du carburant au regard de l’effondrement du prix du baril de pétrole, la de fiscalisation de certain denrées de grande consommation et les matériaux de construction
on est tous unanime que l’administration c’est la continuité, mais aussi l’administration c’est la régulation, l’ajustement, la correction, et le réalisme. La transition à tracé les sillons d’une justice indépendante mais reconnaissons que c’est pas pour autant que le magistrat burkinabe va revendiquer le salaire du juge sénégalais, ivoirien ou camerounais. Il s’agit d’une vue de l’esprit déplacée car au même moment, il oublie de comparer les ressources propres du BF à celles des pays référentiels.