Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Affaire de koglwéogo : « Demander la suppression des koglwéogo, c’est comme si on disait de supprimer toute la communauté » dixit Gansonré Sanoussa
19 février 2016, 07:40, par
GOMDABO
Je suis désolé Monsieur le consultant, je connais l’association Koglwéogo de Ouahigouya en son temps, elle n’a jamais interpellé un délinquant. Elle faisait un travail de sensibilisation et de renseignement aux forces de sécurité qui agissaient. Elle n’était pas armée, contrairement à ce que nous voyons avec vos Koglwéogo actuels. La communauté a toujours existé sans vos koglwéogo et vos koglwéogo vont aussi disparaitre laisser la communauté. C’est écœurant de voir vraiment des intellectuels de cette trempe défendre l’indéfendable.
copié sur un mur : Chacun n’a qu’à courir assurer la sécurité de son village, voilà la nouvelle politique de sécurité du Burkina. Un domaine régalien de l’État, un domaine de souveraineté laissé aux mains de qui veut. A ce rythme, c’est les bandits même qui vont créer leurs organisations koglwéogo pour mieux traquer nos populations et faire un bloc pour s’opposer à l’intervention des Forces de sécurités. Qui est Kolgwéogo ? Comment on devient Kolgwéogo ? Qui répond des actes des kolgwéogo ? Quelle formation ont reçu ces kolgwéogo pour assurer la sécurité ? Connaissent-ils les règles en matière d’interpellation d’un citoyen ? Quelle garantie pour la protection des droits des citoyens et des mis-en cause, de la présomption d’innocence ? Les Kolgwéogo sont pire que le RPS d’antan et leur dissolution et désarmement ne doivent souffrir d’aucun débat. Force reste à la loi et seul L’État a le monopole de la violence.
Je suis désolé Monsieur le consultant, je connais l’association Koglwéogo de Ouahigouya en son temps, elle n’a jamais interpellé un délinquant. Elle faisait un travail de sensibilisation et de renseignement aux forces de sécurité qui agissaient. Elle n’était pas armée, contrairement à ce que nous voyons avec vos Koglwéogo actuels. La communauté a toujours existé sans vos koglwéogo et vos koglwéogo vont aussi disparaitre laisser la communauté. C’est écœurant de voir vraiment des intellectuels de cette trempe défendre l’indéfendable.
copié sur un mur :
Chacun n’a qu’à courir assurer la sécurité de son village, voilà la nouvelle politique de sécurité du Burkina. Un domaine régalien de l’État, un domaine de souveraineté laissé aux mains de qui veut. A ce rythme, c’est les bandits même qui vont créer leurs organisations koglwéogo pour mieux traquer nos populations et faire un bloc pour s’opposer à l’intervention des Forces de sécurités. Qui est Kolgwéogo ? Comment on devient Kolgwéogo ? Qui répond des actes des kolgwéogo ? Quelle formation ont reçu ces kolgwéogo pour assurer la sécurité ? Connaissent-ils les règles en matière d’interpellation d’un citoyen ? Quelle garantie pour la protection des droits des citoyens et des mis-en cause, de la présomption d’innocence ? Les Kolgwéogo sont pire que le RPS d’antan et leur dissolution et désarmement ne doivent souffrir d’aucun débat. Force reste à la loi et seul L’État a le monopole de la violence.