Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Rumeurs » sur les Fruits et légumes empoisonnés : La ligue des consommateurs interpelle les autorités
2 février 2016, 12:53, par
Kanzim
Le commentaire de Kôrô Yamyellé est à prendre au sérieux. Nous ne devons pas en effet, aller si loin pour savoir que les produits maraichers et fruitiers locaux sont pollués par le fait même de la circulation et de l’utilisation non autorisée des produits toxiques détournés de leur utilisation normale. Nous savons par la presse que des produits de traitement du coton sont utilisés par les maraîchers autour de Ouaga. Lorsque les incinérateurs de l’hôpital Yalagado ne fonctionnaient pas, les déchets se retrouvaient dans le barrage aux abords duquel on produit salades, chou et tomates. Un documentaire a même montré en son temps, que les plâtres ayant servi aux fractures et autres étaient récupérés des eaux par des femmes, pour faire de la potasse très prisée. Dire que nous avons des universitaires très compétents mais à qui on ne donne point du matériel pour travailler. Quand au Laboratoire National de Santé Publique, il ne faut même pas en parler parce que sa politisation au départ en fait un simple machin. Vide. Parce piloté par des coqs qui n’en connaissent rien.
Le commentaire de Kôrô Yamyellé est à prendre au sérieux. Nous ne devons pas en effet, aller si loin pour savoir que les produits maraichers et fruitiers locaux sont pollués par le fait même de la circulation et de l’utilisation non autorisée des produits toxiques détournés de leur utilisation normale. Nous savons par la presse que des produits de traitement du coton sont utilisés par les maraîchers autour de Ouaga. Lorsque les incinérateurs de l’hôpital Yalagado ne fonctionnaient pas, les déchets se retrouvaient dans le barrage aux abords duquel on produit salades, chou et tomates. Un documentaire a même montré en son temps, que les plâtres ayant servi aux fractures et autres étaient récupérés des eaux par des femmes, pour faire de la potasse très prisée. Dire que nous avons des universitaires très compétents mais à qui on ne donne point du matériel pour travailler. Quand au Laboratoire National de Santé Publique, il ne faut même pas en parler parce que sa politisation au départ en fait un simple machin. Vide. Parce piloté par des coqs qui n’en connaissent rien.