Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lettre ouverte à Michel Kafando : « Vous exposez vos amis à l’humiliation »
18 décembre 2015, 09:06, par
PATRIOTE INTEGRE
Je pense qu’il n’est pas interdit, ni malsain de prendre des décisions et de poser des actes dans une telle période par un gouvernement en fin de mandat. Les pratiques dans les pays dits de grande démocratie ne disent pas le contraire non plus. Seulement pour des décisions importantes qui engagent le président entrant, celui-ci doit être associé. Donc, si Rock est consulté avant les multiples nominations, il n’y a aucun problème. Si effectivement Rock est consulté, ce serait une sorte de fuite de responsabilité. L’idéal voudrait que ce soit le nouveau président qui exprime la reconnaissance de la nation aux acteurs de la transition. Mon regret est que le gouvernement de la transition a fermé les yeux sur un dossier brûlant et très urgent qui interpelle fortement l’Etat : c’est le cas de la SN-SOSUCO. Le gouvernement de la transition aurait consulté le nouveau président élu pour entreprendre des actions fortes pour restaurer un climat de paix et la reprise sans tension des activités de l’usine. Malheureusement, ils ont laissé le DG de l’usine torturer la population par des actions dignes d’un colon. Même sous Blaise COMPAORE, cela ne s’est jamais passé.
Je pense qu’il n’est pas interdit, ni malsain de prendre des décisions et de poser des actes dans une telle période par un gouvernement en fin de mandat. Les pratiques dans les pays dits de grande démocratie ne disent pas le contraire non plus. Seulement pour des décisions importantes qui engagent le président entrant, celui-ci doit être associé. Donc, si Rock est consulté avant les multiples nominations, il n’y a aucun problème. Si effectivement Rock est consulté, ce serait une sorte de fuite de responsabilité. L’idéal voudrait que ce soit le nouveau président qui exprime la reconnaissance de la nation aux acteurs de la transition. Mon regret est que le gouvernement de la transition a fermé les yeux sur un dossier brûlant et très urgent qui interpelle fortement l’Etat : c’est le cas de la SN-SOSUCO. Le gouvernement de la transition aurait consulté le nouveau président élu pour entreprendre des actions fortes pour restaurer un climat de paix et la reprise sans tension des activités de l’usine. Malheureusement, ils ont laissé le DG de l’usine torturer la population par des actions dignes d’un colon. Même sous Blaise COMPAORE, cela ne s’est jamais passé.