Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Elections législatives et présidentielle 2015 : Le 29 novembre, la nouvelle date consensuelle
14 octobre 2015, 11:07, par
Le transitaire
Internaute 7. Si donc on ne peut pas faire confiance à ceux qui seront élus, pourquoi aller aux élections tôt ou tard ? Je vous rappelle humblement qu’une transition est toujours une parenthèse qui n’a vocation qu’à gérer les affaires courantes et organiser des élections pour vite fermer la parenthèse. Mais ce que les gens craignent et pas seulement les politiciens c’est qu’à force de trainer à fermer la parenthèse sous prétexte qu’on veut résoudre les grands maux du pays (ce qui est une est une grosse responsabilité sur les épaules chancelantes d’une transition) on se retrouve dans un engrenage sans fin. Les dossiers pendants ne peuvent pas finir car comme qui dirait, là où il y a l’homme, il y a l’hommerie.
Le "prophète" Laurent Bigot que les Compaoré ont rejeté a dit, il y a quelques jours de cela que la transition avait outrepassé ses prérogatives et que cela pouvait justifier l’instabilité qu’elle a connue. Quelque patriote vourait bien tomber sur moi à bras raccourcis (comme l’a fait Alain Edouard Traoré, tout zélé ministre de BC sur le même Laurent Bigot) pour me rappeler que ce que dit Bigot n’engage que lui. Soit ! Mais n’y a -t-il pas lieu de prendre ses propos au sérieux et de travailler à corriger pendant qu’il est encore temps ?
Internaute 7. Si donc on ne peut pas faire confiance à ceux qui seront élus, pourquoi aller aux élections tôt ou tard ? Je vous rappelle humblement qu’une transition est toujours une parenthèse qui n’a vocation qu’à gérer les affaires courantes et organiser des élections pour vite fermer la parenthèse. Mais ce que les gens craignent et pas seulement les politiciens c’est qu’à force de trainer à fermer la parenthèse sous prétexte qu’on veut résoudre les grands maux du pays (ce qui est une est une grosse responsabilité sur les épaules chancelantes d’une transition) on se retrouve dans un engrenage sans fin. Les dossiers pendants ne peuvent pas finir car comme qui dirait, là où il y a l’homme, il y a l’hommerie.
Le "prophète" Laurent Bigot que les Compaoré ont rejeté a dit, il y a quelques jours de cela que la transition avait outrepassé ses prérogatives et que cela pouvait justifier l’instabilité qu’elle a connue. Quelque patriote vourait bien tomber sur moi à bras raccourcis (comme l’a fait Alain Edouard Traoré, tout zélé ministre de BC sur le même Laurent Bigot) pour me rappeler que ce que dit Bigot n’engage que lui. Soit ! Mais n’y a -t-il pas lieu de prendre ses propos au sérieux et de travailler à corriger pendant qu’il est encore temps ?