Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Report des élections au Burkina : La forte tentation d’une prolongation de la transition
8 octobre 2015, 20:03, par
wedaga
Il n y a aucune tentation en cela. Les faits sont clairs. Mieux vaut une prolongation de quelques moi que de partir ventre en l’air pour des élections et se retrouver dans un chaos total. Qui pouvait prévoir les événements passés alors que nous étions à 72 heures de la campagne électorale. Soyons réalistes envers nous mêmes. Pensez vous que la dissolution du RSP et l’arrestation des 2 généraux suffisent pour parler d’une sécurité suffisante ? Non ! il existe encore de nombreux ennemis cachés, tant internes qu’externes, ce qui impose une vigilance accrue. La question des djihadistes est une réalité. ADO et ses troupes, Faures et ses troupes,... ne sont pas nos amis. Donc laissons la transition conduire les choses. Le matériel électoral ne pourrit pas en 1 ou 2 mois de délai supplémentaire.
A l’heure actuelle, il faut éviter de dire par la suite : "Si on savait". Un peu de patience, mes chers compatriotes !
Il n y a aucune tentation en cela. Les faits sont clairs. Mieux vaut une prolongation de quelques moi que de partir ventre en l’air pour des élections et se retrouver dans un chaos total. Qui pouvait prévoir les événements passés alors que nous étions à 72 heures de la campagne électorale. Soyons réalistes envers nous mêmes. Pensez vous que la dissolution du RSP et l’arrestation des 2 généraux suffisent pour parler d’une sécurité suffisante ? Non ! il existe encore de nombreux ennemis cachés, tant internes qu’externes, ce qui impose une vigilance accrue. La question des djihadistes est une réalité. ADO et ses troupes, Faures et ses troupes,... ne sont pas nos amis. Donc laissons la transition conduire les choses. Le matériel électoral ne pourrit pas en 1 ou 2 mois de délai supplémentaire.
A l’heure actuelle, il faut éviter de dire par la suite : "Si on savait". Un peu de patience, mes chers compatriotes !