Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Rentrée judiciaire : « La perte de crédibilité de la justice n’humilie pas seulement le juge, mais l’Etat tout entier » déplorent les syndicats
7 octobre 2015, 20:13, par
Nabiiga
Je valide et partage votre point de vue. Dans le cas de Thom Sank, on a assisté véritablement à une parodie de justice. Comment s’est fait-il qu’une jurisprudence nationale fut incapable de situer sur une simple question, aussi simple que celle d’ouvrir ou non une tombe ; une simple tombe ! Les leçons qu’il faut tirer de la justice de l’ère Compaoré est de faire en sorte la que justice retrouve pleinement l’indépendance qui est la sienne au Burkina ; qu’il y ait une véritable séparation de pouvoir. Qui, au Burkina ne sait pas que les jugements des cas problématiques sortaient directement de Kossyam et les juges ne faisaient que les lire les copies qu’on leur remettait probablement par des émissaires RSP armés. On le sait également qu’à Kossyam il y avait des conseillers juridiques occulte qui travaillaient dans le noire au compte de ces deux frères sanguinaires ; c’étaient eux qui rédigeaient ces jugements pour les juges. Maintenant on comprend mieux pourquoi les jugements de cette époque n’avaient rien en droit. Bonne année judiciaire à vous et ne vous laissez surtout pas que quiconque vous corrompre car vous êtes sensés être incorrumptibles. Restez comme cela et travailler gaiment et gaillardement surtout pour la patrie.
Je valide et partage votre point de vue. Dans le cas de Thom Sank, on a assisté véritablement à une parodie de justice. Comment s’est fait-il qu’une jurisprudence nationale fut incapable de situer sur une simple question, aussi simple que celle d’ouvrir ou non une tombe ; une simple tombe ! Les leçons qu’il faut tirer de la justice de l’ère Compaoré est de faire en sorte la que justice retrouve pleinement l’indépendance qui est la sienne au Burkina ; qu’il y ait une véritable séparation de pouvoir. Qui, au Burkina ne sait pas que les jugements des cas problématiques sortaient directement de Kossyam et les juges ne faisaient que les lire les copies qu’on leur remettait probablement par des émissaires RSP armés. On le sait également qu’à Kossyam il y avait des conseillers juridiques occulte qui travaillaient dans le noire au compte de ces deux frères sanguinaires ; c’étaient eux qui rédigeaient ces jugements pour les juges. Maintenant on comprend mieux pourquoi les jugements de cette époque n’avaient rien en droit. Bonne année judiciaire à vous et ne vous laissez surtout pas que quiconque vous corrompre car vous êtes sensés être incorrumptibles. Restez comme cela et travailler gaiment et gaillardement surtout pour la patrie.