Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dissolution du Régiment de sécurité présidentielle : Ce qu’en pensent des ouagavillois
27 septembre 2015, 19:56, par
Paul Sylvain Pare
La dissolution du RSP etait une nécessité qui s’impossait dès la mise en pla, ce de la Transition, mais dans le cafouillage qui s’est imposé dès la fin de la suite de Blaise et le projet de Transition et de l’écriture de la Charte, les amis de Blaise ont eu le temps de se réorganiser, et le Chef de l’état a choisi comme point de chute, le pays voisin de la Côte d’Ivoire, dont le Chef d’état lui doit beaucoup pour la prise de son pouvoir. Dans sa retraite, Blaise Compaoré savit qu’il avait assis eu au Burkina un parti politique, dont les dirigeants et les élus lui étaient acquis, et une force militaire dont les hommes et les chefs étaient non seulement mieux payés et mieux servis que ceux des autres unités militaires, mais aussi avec ces émoluments nettement plus élévés que ceux de tous les autres agents de l’Etat, mais il avait mis en place ce RSP, une force particulière, une élite totalement détachée des autres forces, même si on nous fait croire que leshommes du RSP sont sous le commandement de l’Etat major...Les hommes cette élite avaient des avantages que leur enviaent les autres soldats, mais ils disposaient, malgré le petit nombre, d’un équipement inconnu parfois des autres militaires...Il avait fait de cette unité sa garde prétorienne, tout comme les tyrans dans la Rome antique... Maintenant qu’elle est dissoute, nous apprendrons sur cette garde personnelle des réalités à donner le tournis, à notre intelligence... On peut comparer son statut à celui de véritables mercenaires au sein de la République, non pas une unité d’élite pour des tâches particulièrement difficiles, une milice au service d’un homme qui avait insidieusement réussi à transfomer la République en royaume ou en empire. Ce machin est devenu une véritable gangrène minant la lutte du peuple burkinabé. C’est pourquoi nous dirons, comme Caton au Sénat romain " Rsp delendum est !".
La dissolution du RSP etait une nécessité qui s’impossait dès la mise en pla, ce de la Transition, mais dans le cafouillage qui s’est imposé dès la fin de la suite de Blaise et le projet de Transition et de l’écriture de la Charte, les amis de Blaise ont eu le temps de se réorganiser, et le Chef de l’état a choisi comme point de chute, le pays voisin de la Côte d’Ivoire, dont le Chef d’état lui doit beaucoup pour la prise de son pouvoir. Dans sa retraite, Blaise Compaoré savit qu’il avait assis eu au Burkina un parti politique, dont les dirigeants et les élus lui étaient acquis, et une force militaire dont les hommes et les chefs étaient non seulement mieux payés et mieux servis que ceux des autres unités militaires, mais aussi avec ces émoluments nettement plus élévés que ceux de tous les autres agents de l’Etat, mais il avait mis en place ce RSP, une force particulière, une élite totalement détachée des autres forces, même si on nous fait croire que leshommes du RSP sont sous le commandement de l’Etat major...Les hommes cette élite avaient des avantages que leur enviaent les autres soldats, mais ils disposaient, malgré le petit nombre, d’un équipement inconnu parfois des autres militaires...Il avait fait de cette unité sa garde prétorienne, tout comme les tyrans dans la Rome antique... Maintenant qu’elle est dissoute, nous apprendrons sur cette garde personnelle des réalités à donner le tournis, à notre intelligence... On peut comparer son statut à celui de véritables mercenaires au sein de la République, non pas une unité d’élite pour des tâches particulièrement difficiles, une milice au service d’un homme qui avait insidieusement réussi à transfomer la République en royaume ou en empire. Ce machin est devenu une véritable gangrène minant la lutte du peuple burkinabé. C’est pourquoi nous dirons, comme Caton au Sénat romain " Rsp delendum est !".