Présidentielle 2015 : 16 candidats retenus sur la liste provisoire

Bonjour chers amis forumistes.A l’internaute 35.Je ne crois pas que ce soit une erreur du CC que les rejets des dossiers de GNO et Eddie Komboigo.Les décisions du CC étant irrévocables, donc sans appel, je ne vois pas comment ces derniers peuvent intenter un recours pour qu’on les réintègre. Par contre, il est permis aux candidats en lice d’ester contre ceux de leurs adversaires également retenus sur la liste provisoire. Quant à l’internaute 47 qui souhaite que les mêmes malheurs qui ont frappé la côte d’ivoire s’ abattent sur le burkina, il n’en sera rien.Gbagbo n’avait jamais gagné une election en RCI.Ni en 2000 ni en 2010.C’est différent au Burkina car le CC a dit le droit.Ce qui n’avait pas été le cas par yao n’dri et ses sages .Blaise a mis des institutions democratiques de façade en place. C’était juste pour arnaquer les PTF.Toutes ces institutions dites democratiques, ont été vidées de leur substance pour se mettre à son seul service.Les exemples foisonnent ; La justice, aux ordres, le CSA devenu CSC, aux antipodes de la vision de Norbert Zongo, qui en a été l’instigateur. On ne sait même pas qui est pire entre l’Ex AN et la justice aux ordres.Ou est l’état de droit, où est la séparation des pouvoirs quand devs ministres de la justice tapent sur la table pour dire que "guiro n’est pas n’importe qui ? "(Il est au dessus de la loi.Ou est l’égalité des burkinabe devant la loi,) et de faire tomber la foudre sur les juges honnêtes "non acquis" qui ne faisaient que leur boulot ? Mr Yako n’insultez pas l’intelligence des burkinabe.C’est vous les nostalgiques du régime défunt qui avez des craintes non justifiées et vous parlez de" principauté".De toutes les façons les 27 ans de monarchie et dictature que nous avons vécues sous votre champion faites d’assasinats politiques, de dénis de justice, de réseaux mafieux, crimes de sang et économiques sans nuls autres pareils au burkina au cours de sa jeune vie d’etat souverain *(55ans).Nous pardonnons mais nous n’oublions pas.Vive le Burkina Faso nouveau avec un président démocratiquement élu et des institutions democratiques et indépendantes.