Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Dr Francis Somé : « Si on ne fait rien, on ne pourra plus enterrer quelqu’un à Ouagadougou »
12 août 2015, 15:54, par
Le Citoyen du Faso
Il faut penser à faire transférer les corps des gens dans leurs villages natals pour y être inhumé. Au village les âmes des défunts se reposent en paix qu’à Ouaga ; cimétières mal entretenus, des cadavres d’animaux balancés dans les cimétières, des bandits y trouvent refuge, une semaine après l’inhumation souvent très difficile de localiser la même tombe. Je pense que tous ceux qui ont leur villages natals dans un rayon de 100 km doivent pouvoir y transférer les corps des défunts pour enterrement. Je tire mon chapeau au Dagara, Lobi qui font l’effort de transférer les corps au village alors que Ouaga - (Dano, Diébougou, Gaoua, etc.) est plus que 100 km. Moi en tout cas j’ai laissé des consignes, en cas de cas, si on est en possession de mon corps et que si rien n’interdit son transfert au village, je souhaite être inhumé dans mon village.
Il faut penser à faire transférer les corps des gens dans leurs villages natals pour y être inhumé. Au village les âmes des défunts se reposent en paix qu’à Ouaga ; cimétières mal entretenus, des cadavres d’animaux balancés dans les cimétières, des bandits y trouvent refuge, une semaine après l’inhumation souvent très difficile de localiser la même tombe. Je pense que tous ceux qui ont leur villages natals dans un rayon de 100 km doivent pouvoir y transférer les corps des défunts pour enterrement. Je tire mon chapeau au Dagara, Lobi qui font l’effort de transférer les corps au village alors que Ouaga - (Dano, Diébougou, Gaoua, etc.) est plus que 100 km. Moi en tout cas j’ai laissé des consignes, en cas de cas, si on est en possession de mon corps et que si rien n’interdit son transfert au village, je souhaite être inhumé dans mon village.