Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Déclaration de la coordination des OSC sur la situation nationale : « La dissolution du RSP est une nécessité impérieuse, elle n’est pas négociable. »
1er juillet 2015, 11:48, par
God bless Burkina Faso
Chers frères et sœurs burkinabé ; chers compatriotes,
Je vous avais prévenu, terminons ce qu’on a commencé. Ne laissons pas des individus volés notre victoire sous aucun prétexte. J’avais dit Ehiii attention à ces "Révolutionnaires d’un soir". Vous m’aviez rassuré :"Personne ne nous volera cette victoire,soyez serein !". Vous comprenez maintenant que tout semble à reprendre à zéro. Ces gens se sont joués de nous, de notre Révolution et sont bien assis et contrôlent pratiquement tout maintenant.Ils ont d’autres agendas.
L’occasion que nous avions eu les 30 et 31 octobre 2014 était notre ultime chance de véritablement changer les choses sérieusement au Faso, y compris notre façon d’être. Mais hélas ! C’est une chance qui ne se présente pas plusieurs fois à un peuple. C’étaitla Révolution du Peuple burkinabè . Mais nous avons préféré l’inscrire dans l’élan malsain des personnes véreuses des OSC, des partis politiques et des MILO. Chacun a voulu trouver une formule qui lui permet d’avoir une place au soleil. Pire, les gens ont voulu se réaliser sous cette transition au lieu de réaliser les aspirations profondes du Peuple. Chacun a voulu revendiquer sa part du gâteau plutôt que des choses justes pour le peuple. Certains organes de la transition ont été taillé sur mesure pour récompenser des gens. C’est ce que l’histoire va retenir chers fanfarons opportunistes sangsues. La résurgence de l’égoïsme acerbe, de l’injustice tant combattu, qu’il faudra combattre impérativement et urgemment. J’ai toujours ce plein sentiment que les gens sont morts pour rien. J’ai des larmes aux yeux quand j’évoque cette catastrophe, ce rendez-vous manqué. J’ai de la peine et je continue de la vivre. Notre victoire historique se mue en drame historique.
Il faut le dire Gilbert DJENDJERE est le véritable problème dans cette transition. Il parle peu et se fait très rare mais il contrôle tout. Vous l’arrêter et on peut espérer sortir de cette tanière. Toute solution avec lui ne peut prospérer.
Prions Dieu en ce mois béni pour que les choses s’arrangent le plus vite possible. Que le bon Dieu sauve le Burkina Faso !
Chers frères et sœurs burkinabé ; chers compatriotes,
Je vous avais prévenu, terminons ce qu’on a commencé. Ne laissons pas des individus volés notre victoire sous aucun prétexte. J’avais dit Ehiii attention à ces "Révolutionnaires d’un soir". Vous m’aviez rassuré :"Personne ne nous volera cette victoire,soyez serein !". Vous comprenez maintenant que tout semble à reprendre à zéro. Ces gens se sont joués de nous, de notre Révolution et sont bien assis et contrôlent pratiquement tout maintenant.Ils ont d’autres agendas.
L’occasion que nous avions eu les 30 et 31 octobre 2014 était notre ultime chance de véritablement changer les choses sérieusement au Faso, y compris notre façon d’être. Mais hélas ! C’est une chance qui ne se présente pas plusieurs fois à un peuple. C’était la Révolution du Peuple burkinabè . Mais nous avons préféré l’inscrire dans l’élan malsain des personnes véreuses des OSC, des partis politiques et des MILO. Chacun a voulu trouver une formule qui lui permet d’avoir une place au soleil. Pire, les gens ont voulu se réaliser sous cette transition au lieu de réaliser les aspirations profondes du Peuple. Chacun a voulu revendiquer sa part du gâteau plutôt que des choses justes pour le peuple. Certains organes de la transition ont été taillé sur mesure pour récompenser des gens. C’est ce que l’histoire va retenir chers fanfarons opportunistes sangsues. La résurgence de l’égoïsme acerbe, de l’injustice tant combattu, qu’il faudra combattre impérativement et urgemment. J’ai toujours ce plein sentiment que les gens sont morts pour rien. J’ai des larmes aux yeux quand j’évoque cette catastrophe, ce rendez-vous manqué. J’ai de la peine et je continue de la vivre. Notre victoire historique se mue en drame historique.
Il faut le dire Gilbert DJENDJERE est le véritable problème dans cette transition. Il parle peu et se fait très rare mais il contrôle tout. Vous l’arrêter et on peut espérer sortir de cette tanière. Toute solution avec lui ne peut prospérer.
Prions Dieu en ce mois béni pour que les choses s’arrangent le plus vite possible. Que le bon Dieu sauve le Burkina Faso !