Situation nationale : « Il n’y a pas de quoi s’inquiéter », selon une délégation de la CEDEAO au CDP

Un homme qui ne se bat pas, dans ce pays là, est un homme mort. Je comprend donc que par ci et par là, chacun se "démerde" pour se faire une place au soleil. Je commence par les soit disant OSC, qui pour la plupart, réagissent au grondement de leur intestin. On le sait, il apparaissent sur la scène, lorsqu’ un leader du moment leur file un jeton, beaucoup ne croient pas du tout au verbiage qu’eux-mêmes prononcent. Et, comme, le dit quelqu’un, il est nécessaire de revenir sur ce que l’on entend par LE PEUPLE. Je suis furieux, lorsque "n’importe qui" agit en avançant l’expression, "le peuple a dit, le peuple veut" : De quel peuple parlez vous ? Du peuple qui est sorti les 30 et 31, et qui a obligé le changement au prix de sa vie, ou c’est "le peuple" groupuscule d’individus qui vous dédouane dans vos actions nocturnes, fourbes et sournoises ? Arrêtez s’il plait. Au CDP, aujourd’hui pleurnichard, je dis : tu as joué, tu as perdu, il n’y a pas d’exclusion. Comme sur un terrain de football, lorsqu’une équipe ne fait pas de résultat, l’équipe demeure, mais des joueurs sont mis sur le banc de touche, et c’est le cas les ex-excité de l’article 37. Laissez la CEDEAO car elle ne pourra absolument rien faire ici. Si la transition fléchit sur cet élément, qu’elle soit sûre qu’elle fléchira sur beaucoup points en instance, qui ne font unanimité. A bon entendeur salut. Mbibee