Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Fiscalité : Le cabinet Pierre Abadie répond à W. Jean-luc Minoungou
3 avril 2015, 23:00, par
Marcus
Conflit d’intérêt ou pas conflit d’intérêt, tout le monde sait ce qui se passe. Les journalistes, s’ils font vraiment leur boulot, devrait s’intéresser de manière accrue à ce qui se passe au Burkina concernant l’impôt. Les associations de journaliste n’ont qu’à chercher des gens (agents des impôts et entreprises) qui vont leur expliquer vraiment ce qui se passent. Les combines autour de l’impôt foisonnent. S’agissant de ce conseil fiscal soi disant, je laisse à la presse le soin de vérifier l’existence de collusion. Ce pays me fait de la peine car nous n’avons pas encore compris que l’impôt est la voie incontournable de notre dignité et de notre fierté. Les mendicités de nos ministres des fiances ne nous ménera à ren de bon. Les étranger viennent faire ici ce qu’ils ne peuvent pas faire dans leur propre pays. C’est à croire que notre pays est un torchon. Cela m’écoeure chaque jour, de voir que pour une bouchée de pain, le burkinabè est prêt à vendre son pays au premier venu, surtout blanc ou asiatique.
Conflit d’intérêt ou pas conflit d’intérêt, tout le monde sait ce qui se passe. Les journalistes, s’ils font vraiment leur boulot, devrait s’intéresser de manière accrue à ce qui se passe au Burkina concernant l’impôt. Les associations de journaliste n’ont qu’à chercher des gens (agents des impôts et entreprises) qui vont leur expliquer vraiment ce qui se passent. Les combines autour de l’impôt foisonnent. S’agissant de ce conseil fiscal soi disant, je laisse à la presse le soin de vérifier l’existence de collusion. Ce pays me fait de la peine car nous n’avons pas encore compris que l’impôt est la voie incontournable de notre dignité et de notre fierté. Les mendicités de nos ministres des fiances ne nous ménera à ren de bon. Les étranger viennent faire ici ce qu’ils ne peuvent pas faire dans leur propre pays. C’est à croire que notre pays est un torchon. Cela m’écoeure chaque jour, de voir que pour une bouchée de pain, le burkinabè est prêt à vendre son pays au premier venu, surtout blanc ou asiatique.