Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Diplomatie : La Transition débarque dix ambassadeurs
24 mars 2015, 07:51
Je n’ai rien contre le rappel de ces Ambassadeurs, proches du régime déchu. Mon seul problème réside dans le coût. Il faut admettre que la diplomatie burkinabè coûte cher à notre pays. Ce petit pays pauvre avec 41 représentations diplomatiques et consulaires dont on ignore d’ailleurs les raisons ayant motivé la créations de certaines. La diplomatie a ses raisons que le commun des mortels ignore. Sinon, on se rend compte qu’il y a une inégalité géo-spaciale dans la création de nos missions diplomatiques. Pour revenir au rappel des Ambassadeurs, mon souhait est que les autorités de la Transition nomment juste des chargés d’affaires (les plus proches collaborateurs des Ambassadeurs rappelés dans l’ordre de la préséance) pour gérer ces missions diplomatiques pour des raisons de contraintes budgétaires. Étant entendu qu’il est toujours de coutume que tout nouveau régime fasse le ménage des missions diplomatiques, il est sûr que le régime qui sera élu en octobre fera ce ménage. Evitons donc le gaspillage de ressources.
Je n’ai rien contre le rappel de ces Ambassadeurs, proches du régime déchu. Mon seul problème réside dans le coût. Il faut admettre que la diplomatie burkinabè coûte cher à notre pays. Ce petit pays pauvre avec 41 représentations diplomatiques et consulaires dont on ignore d’ailleurs les raisons ayant motivé la créations de certaines. La diplomatie a ses raisons que le commun des mortels ignore. Sinon, on se rend compte qu’il y a une inégalité géo-spaciale dans la création de nos missions diplomatiques. Pour revenir au rappel des Ambassadeurs, mon souhait est que les autorités de la Transition nomment juste des chargés d’affaires (les plus proches collaborateurs des Ambassadeurs rappelés dans l’ordre de la préséance) pour gérer ces missions diplomatiques pour des raisons de contraintes budgétaires. Étant entendu qu’il est toujours de coutume que tout nouveau régime fasse le ménage des missions diplomatiques, il est sûr que le régime qui sera élu en octobre fera ce ménage. Evitons donc le gaspillage de ressources.