Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
« Mouvement Soyons Sérieux » sur les élections au Burkina Faso : halte aux velléités d’exclusion !
12 mars 2015, 17:51, par
Sidpasata Veritas
Si on veut vraiment être sérieux, il faut commencer par être cohérent et garder de la suite dans les idées. Vous arrêtez un pyromane qui voulait brûler la maison commune avec les allumettes qu’on lui avait remise pour la cuisine familiale, et vous laissez ce même pyromane passer la nuit dans la même maison avec les mêmes allumettes : il faut être fou comme le pyromane lui-même pour faire cela. Nous sommes sérieux et nous ne sommes pas fous comme vous et vos pyromanes.
Nous avons mené l’insurrection pour les chasser du pouvoir qu’ils utilisaient contre le peuple. Nous ne sommes pas malades pour demander à ce même peuple de choisir dirigeants parmi ces voyous politiques. Si vous ne comprenez pas cela, ce n’est pas grave : sachez simplement que nous n’avons jamais été du même camp et que nous poursuivrons notre révolution jusqu’au bout, malgré ce que vous croyiez être une faiblesse et qui n’est que la patience légendaire du vaillant peuple burkinabè qui sait dire "non" quand son heure est venue de le dire. Sans haine, ni animosité, mais avec fermeté !
Si on veut vraiment être sérieux, il faut commencer par être cohérent et garder de la suite dans les idées. Vous arrêtez un pyromane qui voulait brûler la maison commune avec les allumettes qu’on lui avait remise pour la cuisine familiale, et vous laissez ce même pyromane passer la nuit dans la même maison avec les mêmes allumettes : il faut être fou comme le pyromane lui-même pour faire cela. Nous sommes sérieux et nous ne sommes pas fous comme vous et vos pyromanes.
Nous avons mené l’insurrection pour les chasser du pouvoir qu’ils utilisaient contre le peuple. Nous ne sommes pas malades pour demander à ce même peuple de choisir dirigeants parmi ces voyous politiques. Si vous ne comprenez pas cela, ce n’est pas grave : sachez simplement que nous n’avons jamais été du même camp et que nous poursuivrons notre révolution jusqu’au bout, malgré ce que vous croyiez être une faiblesse et qui n’est que la patience légendaire du vaillant peuple burkinabè qui sait dire "non" quand son heure est venue de le dire. Sans haine, ni animosité, mais avec fermeté !