Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Viol de 22 filles mineures par un sexagénaire : l’association d’appui et d’éveil pugsada appelle le Barreau à trouver des avocats pour les victimes
9 mars 2015, 02:34, par
Kanzim
Je suis d’accord qu’il faut publier la photo de ce violeur. Cacher son visage pourrait être en effet suspicieux d’une tentative de protection par les autorités concernées. Comment une fillette pourrait se protéger contre lui, ou comment une mère d’enfant pourrait se méfier de lui, si on ne peut pas l’identifier ? Ailleurs, on met une plaque indicative pour dire "attention, cette route mène après N kilomètres chez un violeur d’enfant qui s’appelle M X". Il faut espérer que même si les ONG mangeant dans les questions de l’enfance ne se constituent pas partie civile, que la procédure engagée soit soutenue par des associations comme Pugsada, e qu’elle aille jusqu’au bout. J’ai eu honte d’écouter des ministres, de gentes dames et des supposées femmes engagées dans la lutte pour l’émancipation de la Femme, des politiciennes et autres âmes sensibles, débiter des lieux communs dans d’insipides discours galvaudés, la grandeur de la femme à l’occasion du 8 mars. pas une seule "bouche" n’a évoqué le drame des filles violées, et celui de leurs parents dont surtout les mamans. Quelle honte !
Je suis d’accord qu’il faut publier la photo de ce violeur. Cacher son visage pourrait être en effet suspicieux d’une tentative de protection par les autorités concernées. Comment une fillette pourrait se protéger contre lui, ou comment une mère d’enfant pourrait se méfier de lui, si on ne peut pas l’identifier ? Ailleurs, on met une plaque indicative pour dire "attention, cette route mène après N kilomètres chez un violeur d’enfant qui s’appelle M X". Il faut espérer que même si les ONG mangeant dans les questions de l’enfance ne se constituent pas partie civile, que la procédure engagée soit soutenue par des associations comme Pugsada, e qu’elle aille jusqu’au bout. J’ai eu honte d’écouter des ministres, de gentes dames et des supposées femmes engagées dans la lutte pour l’émancipation de la Femme, des politiciennes et autres âmes sensibles, débiter des lieux communs dans d’insipides discours galvaudés, la grandeur de la femme à l’occasion du 8 mars. pas une seule "bouche" n’a évoqué le drame des filles violées, et celui de leurs parents dont surtout les mamans. Quelle honte !