Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Manifestation à la Filature du Sahel : Travailleurs et émissaires du Premier ministre discutent
26 décembre 2014, 17:42, par
maxi maxi
Camarade ! le problème de Filsah n’est ni la faute des travailleurs, ni la faute du patronnat ou de l’inspection du travail.
Vous m’excuserez de vous dire juste une vérité qui va vous blesser.
Notre code du travail n’est pas loin d’un chiffon de papier.
Ce sont les même gourous du système qui l’ont édité ou fait éditer à leur propre faveur afin de mieux spolier les vaillants travailleurs burkinabé.
Puisque ces gourous avaient ou ont presque toujours tous les unités industrielles du pays, il leurs faut une loi qui soit souple notamment sur les licenciements, le paiement des dommages et intérêts (de 18 mois maximum devant le tribunal du travail).
"Nous sommes des moutons" pour paraphraser Laurent Bado il y aura dans un avenir proche des entreprises qui connaitrons exactement le même problème que les travailleurs de la Filsah si toutefois ce code du travail n’est pas revu.
Plusieurs syndicalistes commencent à prendre goût du champagne et autre vins mousseux que la relecture et la mise à jour de ce code s’avère être le dernier de leur soucis.
Le gouvernement de transition n’aura certainement pas tout le temps nécessaire pour pallier ce problème. Espérons cependant que tous les futurs gouvernements en tiendrons compte. Dans tous les cas ils n’auront pas le choix car la réduction des troubles sociaux doit passer par sa révision.
Camarade ! le problème de Filsah n’est ni la faute des travailleurs, ni la faute du patronnat ou de l’inspection du travail.
Vous m’excuserez de vous dire juste une vérité qui va vous blesser.
Notre code du travail n’est pas loin d’un chiffon de papier.
Ce sont les même gourous du système qui l’ont édité ou fait éditer à leur propre faveur afin de mieux spolier les vaillants travailleurs burkinabé.
Puisque ces gourous avaient ou ont presque toujours tous les unités industrielles du pays, il leurs faut une loi qui soit souple notamment sur les licenciements, le paiement des dommages et intérêts (de 18 mois maximum devant le tribunal du travail).
"Nous sommes des moutons" pour paraphraser Laurent Bado il y aura dans un avenir proche des entreprises qui connaitrons exactement le même problème que les travailleurs de la Filsah si toutefois ce code du travail n’est pas revu.
Plusieurs syndicalistes commencent à prendre goût du champagne et autre vins mousseux que la relecture et la mise à jour de ce code s’avère être le dernier de leur soucis.
Le gouvernement de transition n’aura certainement pas tout le temps nécessaire pour pallier ce problème. Espérons cependant que tous les futurs gouvernements en tiendrons compte. Dans tous les cas ils n’auront pas le choix car la réduction des troubles sociaux doit passer par sa révision.