Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Trafic humain : 65 enfants interceptés à Ouahigouya
25 novembre 2014, 08:42, par
wedaga
A lire votre écrit, vous les responsables ne peuvent pas proposer mieux que ceux que vous appelez trafiquants d’enfants. Dans les villages, les enfants cultivent pour avoir de l’argent "by day". Si certaines disent qu’elles vont préparer leur mariage, pourquoi pensez-vous que cela est mauvais ? Dans la mesure où l’État ne veut rien faire pour alléger les souffrances des jeunes, laissons ces enfants se battre pour un lendemain meilleur. Si vous les renvoyer dans les villages sans créer des conditions pour les y maintenir, ne soyez pas étonnez qu’ils deviennent des brigands. oui, des brigands parce que le ministère des "droits humains" les aurait appris à ne pas travailler pour gagner leur pain mais plutôt à rester mains croisées alors qu’ils doivent se nourrir, vêtir, loger. Le vrai burkinabè, petit comme grand, est celui qui a appris à ne pas dépendre de quelqu’un et travaille chaque jour à cela. Accompagner ces enfants en créant des conditions pour leur meilleur gestion par les tanties chefs
A lire votre écrit, vous les responsables ne peuvent pas proposer mieux que ceux que vous appelez trafiquants d’enfants. Dans les villages, les enfants cultivent pour avoir de l’argent "by day". Si certaines disent qu’elles vont préparer leur mariage, pourquoi pensez-vous que cela est mauvais ? Dans la mesure où l’État ne veut rien faire pour alléger les souffrances des jeunes, laissons ces enfants se battre pour un lendemain meilleur. Si vous les renvoyer dans les villages sans créer des conditions pour les y maintenir, ne soyez pas étonnez qu’ils deviennent des brigands. oui, des brigands parce que le ministère des "droits humains" les aurait appris à ne pas travailler pour gagner leur pain mais plutôt à rester mains croisées alors qu’ils doivent se nourrir, vêtir, loger. Le vrai burkinabè, petit comme grand, est celui qui a appris à ne pas dépendre de quelqu’un et travaille chaque jour à cela. Accompagner ces enfants en créant des conditions pour leur meilleur gestion par les tanties chefs