Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Michel Kafando sur RFI : le Faso ne peut être « à la merci des véreux »
20 novembre 2014, 02:22, par
Burkinbila
N’OUBLIONS SURTOUT PAS QU’IL N’A QUE 12 MOIS COMME CHEF D’ETAT. A l’heure actuelle je pense que nous devons nous remettre simplement au travail en suivant de près ce que ces nouveaux dirigeants nous reservent. Il est plus que déplacé de jetter le discrédit maintenant sur des gens qu’on connait à peine. Personnellement je ne connaissais pas Kafando avant sa désignation au pouvoir. Et nous sommes des millions comme ça. Cette discrétion est tout à fait à son honneur. Quand à Zida, c’est évident qu’il ne pouvait pas rester au pouvoir vu la pression tant nationale qu’internationale qui pesait pour lui. Mais il a tout de même montré jusqu’à présent des signes de bonne volonté. Evitons les préjugés et formons un bloc autour de ces nouveaux dirigeants afin qu’ils puissent bien faire leur travail et nous mener à des élections démocratiques où nous pourrons élire enfin celui que nous pensons à même de diriger le Burkina. Les spéculations à l’heure actuelle ne servent à rien car il ne peut y avoir un président accepté par TOUS LES 17 MILLIONS DE BURKINABE. C’est pour ça qu’on parle de CONSENSUS.
N’OUBLIONS SURTOUT PAS QU’IL N’A QUE 12 MOIS COMME CHEF D’ETAT. A l’heure actuelle je pense que nous devons nous remettre simplement au travail en suivant de près ce que ces nouveaux dirigeants nous reservent. Il est plus que déplacé de jetter le discrédit maintenant sur des gens qu’on connait à peine. Personnellement je ne connaissais pas Kafando avant sa désignation au pouvoir. Et nous sommes des millions comme ça. Cette discrétion est tout à fait à son honneur. Quand à Zida, c’est évident qu’il ne pouvait pas rester au pouvoir vu la pression tant nationale qu’internationale qui pesait pour lui. Mais il a tout de même montré jusqu’à présent des signes de bonne volonté. Evitons les préjugés et formons un bloc autour de ces nouveaux dirigeants afin qu’ils puissent bien faire leur travail et nous mener à des élections démocratiques où nous pourrons élire enfin celui que nous pensons à même de diriger le Burkina. Les spéculations à l’heure actuelle ne servent à rien car il ne peut y avoir un président accepté par TOUS LES 17 MILLIONS DE BURKINABE. C’est pour ça qu’on parle de CONSENSUS.