Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Transition politique : La charte adoptée, place à la mise en place des organes
15 novembre 2014, 08:40, par
Amen
Un grand pas est fait dans le sens de la transition apaisée, mais le peuple doit rester vigilant pour surveiller les politiques et les militaires afin qu´ils ne sacrifient sa victoire sur l´autel des intérets égoistes. Merci au Balai citoyen de prendre de la distance qui permet de sauvegarder la vigilance. Mais le Président de la transition devra eviter de confier la primature à un militaire, à moins qu´il ne veuille avoir une pression dangereuse dans le dos. L´armée républicaine a fini de faire son travail : elle doit retourner dans les casernes en attendant que le peuple la rappelle de nouveau s´il le faut ! Mieux elle doit désormais se concentrer sur la surveillance du territoire car avec la menace jihadiste et tant de burkinabé en fuite avec la rancune dans le coeur, nous ne sommes plus en sureté surtout que les fuyards étaient déjà en intelligence avec les brigands et les fous du désert qui ont pour mission de terroriser le monde au nom d´un certain Dieu. Il faudrait aussi que très rapidemement le président de transition requière le gel des avoirs des membres de l´ancien régime (à l´intérieur comme à l´extérieur) et lance des mandats d´arret contre les fuyards avant qu´ils ne gagnent des Etats qui refuseront de les extrader. L´annulation de leurs passeports ne suffit pas ! L´armée s´est trouvée mal placée pour le faire car elle a organisé leur fuite et gère encore Kosyam au profit de certains fuyards. Les civils qui ont vaincu le systeme doivent eux s´y prendre sans délai, non pour se venger à travers une justice du vainqueur, mais par devoir de vérité et de justice. Le pardon sans la justice et la vérité est une parodie dont le Burkina sést malheureusement déjà drapée à travers la journée nationale du pardon.
Un grand pas est fait dans le sens de la transition apaisée, mais le peuple doit rester vigilant pour surveiller les politiques et les militaires afin qu´ils ne sacrifient sa victoire sur l´autel des intérets égoistes. Merci au Balai citoyen de prendre de la distance qui permet de sauvegarder la vigilance. Mais le Président de la transition devra eviter de confier la primature à un militaire, à moins qu´il ne veuille avoir une pression dangereuse dans le dos. L´armée républicaine a fini de faire son travail : elle doit retourner dans les casernes en attendant que le peuple la rappelle de nouveau s´il le faut ! Mieux elle doit désormais se concentrer sur la surveillance du territoire car avec la menace jihadiste et tant de burkinabé en fuite avec la rancune dans le coeur, nous ne sommes plus en sureté surtout que les fuyards étaient déjà en intelligence avec les brigands et les fous du désert qui ont pour mission de terroriser le monde au nom d´un certain Dieu. Il faudrait aussi que très rapidemement le président de transition requière le gel des avoirs des membres de l´ancien régime (à l´intérieur comme à l´extérieur) et lance des mandats d´arret contre les fuyards avant qu´ils ne gagnent des Etats qui refuseront de les extrader. L´annulation de leurs passeports ne suffit pas ! L´armée s´est trouvée mal placée pour le faire car elle a organisé leur fuite et gère encore Kosyam au profit de certains fuyards. Les civils qui ont vaincu le systeme doivent eux s´y prendre sans délai, non pour se venger à travers une justice du vainqueur, mais par devoir de vérité et de justice. Le pardon sans la justice et la vérité est une parodie dont le Burkina sést malheureusement déjà drapée à travers la journée nationale du pardon.