Blaise Compaoré accuse l’Opposition d’avoir comploté avec l’armée pour prendre le « pouvoir par la force »

Mr. Compaoré doit se taire et faire profil bas, car l’alternance Burkinabé est déjà en bonne voie sans vous. Inutile d’accusé l’opposition ni l’armée, c’est notre constitution dont son article 37 et sa lettre et son esprit qui interdisent tout président du Faso de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs qui vous a forcer à partir. Vous n’avez aucun droit de tripatouiller à plusieurs reprises cet article pour s’éterniser au pouvoir. Depuis plus de 6 mois dans tous les sites des réseaux sociaux en ligne de notre pays et des pays voisins, je vous ai averti qu’en passant outre les prescriptions de l’article 37 ou un referendum bidon vous risquez d’encourir le désaveu populaire qui devrait vous contraindre à la démission, relisez mes messages dans l’historique de B24, le Faso.net, Zoodmail, lebanco.net, l’observateur. J’ai eu même à dire un mot à votre femme et à votre fille sans succès. Tous les internautes Pros- Referendum et pros révision de l’article 37, Karim, Enerique, JOJO, DJEDJE, qui m’ont menacé de mort par ce que je vous disais de respecter l’article 37 ou un soulèvement populaire vous chassera du pouvoir n’ont pas eu raison de vous flatter. A vous rappeler que j’ai crié sur tous les sites d’information des réseaux sociaux en ligne dont vous consultez tous les soirs de respecter l’article 37 qui est un arbitre incontournable entre un président prédateur et son peuple. J’ai écrit 768 messages en une année pour vous dire de respecter l’article 37 et votre peuple pour une sortie honorable. J’ai révélé notre manifestation en 1972, malgré tout vous entêtez a duper le peuple qui vous a élu. Mr. Compaoré Blaise le peuple Burkinabé et sa jeunesses était dans la légitimité de vous chasser du pouvoir pour quatre raisons : ‘’’’’’’la corruption à ciel ouvert que vous ne contrôlez plus, l’injustice, l’impunité, et la mutation d’une belle-mère qui voulait tout contrôler. N’accusez ni l’opposition, ni le peuple, ni l’armée, vous aviez voulu ce qui vous a arrivé, j’y étais près de Kossyam, et j’étais témoins des jeunes courageux qui n’ont pas voulu vous laissez le choix de rester au pouvoir.