Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
L’ascension express du lieutenant-colonel Zida au Burkina Faso
3 novembre 2014, 17:40, par
La doctrine
Frères et soeurs du Burkina Faso, c’est nous qui avons fait notre révolution et c’est nous qui devons nous entendre pour gérer la transition qui s’est ouverte ainsi après le départ de Blaise COMPAORE. Je crois qu’il faut être optimiste. Quel journaliste, quel homme politique et même quelle communauté internationale avait pu prévoir que Blaise COMPAORE quitterait aussi vite le pouvoir ? Je crois que c’est la preuve que Dieu aime le Burkina Faso et que les choses iront toujours dans le sens du mieux. Nous ne pouvons pas empêcher les journalistes de faire leurs analyses même pessimistes mais nous pouvons en tant que Burkinabè éviter des propos pessimistes et qui pourraient semer des divisions entre nous. Je crois que nous aimons tous le Burkina Faso et nous avons eu le temps de le prouver à tout le monde entier, non seulement à travers l’unité d’esprit et d’action dans les manifestations qui ont mis fin au pouvoir de Blaise COMPAORE mais également à travers le nettoyage de la ville lancé le samedi 1er novembre dernier. Personnellement je demande à tous les burkinabè de s’unir au lieu de se diviser et de soutenir chacun à sa manière le processus de retour à une vie constitutionnelle normale en cours. Que Dieu bénisse le Burkina Faso !
Frères et soeurs du Burkina Faso, c’est nous qui avons fait notre révolution et c’est nous qui devons nous entendre pour gérer la transition qui s’est ouverte ainsi après le départ de Blaise COMPAORE. Je crois qu’il faut être optimiste. Quel journaliste, quel homme politique et même quelle communauté internationale avait pu prévoir que Blaise COMPAORE quitterait aussi vite le pouvoir ? Je crois que c’est la preuve que Dieu aime le Burkina Faso et que les choses iront toujours dans le sens du mieux. Nous ne pouvons pas empêcher les journalistes de faire leurs analyses même pessimistes mais nous pouvons en tant que Burkinabè éviter des propos pessimistes et qui pourraient semer des divisions entre nous. Je crois que nous aimons tous le Burkina Faso et nous avons eu le temps de le prouver à tout le monde entier, non seulement à travers l’unité d’esprit et d’action dans les manifestations qui ont mis fin au pouvoir de Blaise COMPAORE mais également à travers le nettoyage de la ville lancé le samedi 1er novembre dernier. Personnellement je demande à tous les burkinabè de s’unir au lieu de se diviser et de soutenir chacun à sa manière le processus de retour à une vie constitutionnelle normale en cours. Que Dieu bénisse le Burkina Faso !