Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Lieutenant-Colonel Yacouba Zida à la tête de la transition : Le Balai citoyen s’explique, l’opposition crie à une confiscation du pouvoir.
2 novembre 2014, 02:04, par
Abd El Hakim
Voilà qui ne fait qu’ajouter plus de confusion à ce qui est déjà un imbroglio.
Une transition ne saurait se faire sans les Forces Armées Nationales dont le rôle est de défendre l’intégrité du territoire, de garantir la sécurité des personnes et des biens.
Notre Armée est, quelque part, à saluer pour l’attitude qu’elle a adoptée en ne retournant pas le fusil contre le peuple. Pouvait-il d’ailleurs en être autrement si l’on s’en tient à son rôle traditionnel ?
Cette armée là a bien pris ses responsabilités à travers son intervention pour rétablir et maintenir l’ordre en faisant cesser les pillages qui s’intensifiaient à travers certaines villes, principalement à Ouagadougou.
Blaise Compaoré étant parti, le Burkina doit montrer qu’il a de vaillants et compétents filles et fils, capables de s’entendre pour faire avancer leur pays. Les Burkinabès qui viennent de reconquérir leur dignité, leur vraie intégrité doivent montrer à la face du monde que ce petit pays pour certains, en est un grand par la maturité, la clairvoyance et le sens de patriotisme de son peuple.
On comprendrait donc mieux la participation des militaires à cette transition pour s’occuper du volet sécuritaire. Mais de là à ce que ce soit l’Armée même qui pilote la transition, cela paraît vraiment bizarre et pas convenable.
Aussi, OUI au Lieutenant-Colonel ZIDA, retenu et désigné unanimement par l’armée, comme membre de l’organe devant gérer la transition et pour la question sécuritaire ! mais NON comme président de la transition.
Il faut que les Burkinabès démontrent au reste du monde que civils et militaires peuvent se mettre ensemble pour faire rayonner leur pays.
Mais en attendant, nous prions et continuerons tous de prier pour que la paix règne dans notre beau pays.
Voilà qui ne fait qu’ajouter plus de confusion à ce qui est déjà un imbroglio.
Une transition ne saurait se faire sans les Forces Armées Nationales dont le rôle est de défendre l’intégrité du territoire, de garantir la sécurité des personnes et des biens.
Notre Armée est, quelque part, à saluer pour l’attitude qu’elle a adoptée en ne retournant pas le fusil contre le peuple. Pouvait-il d’ailleurs en être autrement si l’on s’en tient à son rôle traditionnel ?
Cette armée là a bien pris ses responsabilités à travers son intervention pour rétablir et maintenir l’ordre en faisant cesser les pillages qui s’intensifiaient à travers certaines villes, principalement à Ouagadougou.
Blaise Compaoré étant parti, le Burkina doit montrer qu’il a de vaillants et compétents filles et fils, capables de s’entendre pour faire avancer leur pays. Les Burkinabès qui viennent de reconquérir leur dignité, leur vraie intégrité doivent montrer à la face du monde que ce petit pays pour certains, en est un grand par la maturité, la clairvoyance et le sens de patriotisme de son peuple.
On comprendrait donc mieux la participation des militaires à cette transition pour s’occuper du volet sécuritaire. Mais de là à ce que ce soit l’Armée même qui pilote la transition, cela paraît vraiment bizarre et pas convenable.
Aussi, OUI au Lieutenant-Colonel ZIDA, retenu et désigné unanimement par l’armée, comme membre de l’organe devant gérer la transition et pour la question sécuritaire ! mais NON comme président de la transition.
Il faut que les Burkinabès démontrent au reste du monde que civils et militaires peuvent se mettre ensemble pour faire rayonner leur pays.
Mais en attendant, nous prions et continuerons tous de prier pour que la paix règne dans notre beau pays.