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Assimi Kouanda, représentant de la majorité présidentielle : « l’opposition a pris la décision de quitter le dialogue inclusif »

7 octobre 2014, 07:28, par Ka

Le président Blaise Compaoré sait que les intellectuels Burkinabé, aujourd’hui se regroupent en opposition contre son régime, ils ont appréhendé sa dictature et sa ruse : Aucun dialogue dans notre pays ne peut trouver une solution finale concernant l’article 37. Pour le peuple Burkinabé, modifier l’article 37 est égale a tous les crimes commis gratuitement et par plaisir par le président sanguinaire et complexe. En 1999, son entourage avec quelques personnes très intelligentes comme les ténors du parti démissionnaires, Roch Kaboré, Salif Diallo, Simon Compaoré, ont pu convaincre avec la sagesse africaine, le conseil des sages, notre référence de démocratie et sauver Blaise Compaoré du lynchage de son peuple après avoir assassiné le journaliste Norbert Zongo. Le dialogue de consensus nationale de 1999 a été mené par des personnes de bonne foi contre un président qui joue avec son peuple, à la fin il a été averti par les sages de quitter le pouvoir après ses deux mandats, dont il a donné sa parole. Aujourd’hui il n’a plus aucun choix face à ceux qui le connaissent et qui ne le laisseront pas duper son peuple. Soit il oublie la question que lui posait le journaliste Norbert Zongo avant sa mort ‘’’’’Comment fera le président Blaise Compaoré pour s’imposer aux intellectuels qui appréhendent la dimension de sa dictature et le drame qu’elle représente pour notre peuple ? Une seule solution s’impose à lui : emprisonner, tuer, faire disparaître.’’’’’
Mr. le président Blaise Compaoré vous n’avez aucun issue que de choisir la bonne solution qui est de respecter les prescriptions de l’article 37 qui interdisent tout président du Faso à briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, ou reprendre votre bâton de pèlerin d’un président assassin et qui assume, dont la CPI vous prépare sa meilleure cellule. La jeunesse Burkinabé ne vous laisseront pas faire, vous bloquez l’avancer du Burkina avec votre entourage corrompus qui vous tiennent prisonnier. Quitter le pouvoir par une porte honorable, ou tuer, faire disparaitre, et aller prendre votre retraite auprès de votre frère GBAGBO a la CPI.


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