Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Décentralisation au Burkina : Réflexion autour de la formulation des nouveaux référentiels
28 mai 2014, 19:45, par
Bala Wenceslas SANOU
Cette initiative en elle-même est à saluer car elle traduit au-moins une prise de conscience (collective je l’espère) de redonner du soufflé à cette réforme indispensable pour rester dans un Etat de droit démocratique. La décentralisation commençait à sombrer dans une léthargie, une monotonie, une routine dangereuse. L’intention et le chantier de relance sont à réussir ; et c’est heureux que le PNUD (entre autre) était à la rencontre d’annonce de la relance ; le PNUD et d’autres institutions sont très portée sur ce qui doit devenir une réalité pour avoir des communes au service du développement local : la gouvernance, et la bonne gouvernance. La phase théâtrale est passée, il faut maintenant passer à la l’ancrage de pratiques de bonne gouvernance dans nos communes. A la tête, il faut des maires qui comprennent qu’ils sont/doivent être animateurs/animatrices de dialogues citoyens pour ensemble mobiliser les ressources et surtout les esprits pour aller vers le développement socio-économiques local. J’aimerais de façon citoyenne pouvoir apporter ma contribution à la relance. J’annonce une piste sérieuse (en plus de la bonne gouvernance qui reste l’axe 1) : repensons totalement la déconnection en l’exécutif municipal et le conseil municipal (organe de délibération). Actuellement nous sommes dans une pagaille en ayant un maire, président du conseil municipal et également premier responsable de l’exécutif communal. C’est une aberration à corriger, en prenant le bon exemple sur le schémas lusophone. J’arrête là en restant vigilent sur la suite de chantier indispensable.
Cette initiative en elle-même est à saluer car elle traduit au-moins une prise de conscience (collective je l’espère) de redonner du soufflé à cette réforme indispensable pour rester dans un Etat de droit démocratique. La décentralisation commençait à sombrer dans une léthargie, une monotonie, une routine dangereuse. L’intention et le chantier de relance sont à réussir ; et c’est heureux que le PNUD (entre autre) était à la rencontre d’annonce de la relance ; le PNUD et d’autres institutions sont très portée sur ce qui doit devenir une réalité pour avoir des communes au service du développement local : la gouvernance, et la bonne gouvernance. La phase théâtrale est passée, il faut maintenant passer à la l’ancrage de pratiques de bonne gouvernance dans nos communes. A la tête, il faut des maires qui comprennent qu’ils sont/doivent être animateurs/animatrices de dialogues citoyens pour ensemble mobiliser les ressources et surtout les esprits pour aller vers le développement socio-économiques local. J’aimerais de façon citoyenne pouvoir apporter ma contribution à la relance. J’annonce une piste sérieuse (en plus de la bonne gouvernance qui reste l’axe 1) : repensons totalement la déconnection en l’exécutif municipal et le conseil municipal (organe de délibération). Actuellement nous sommes dans une pagaille en ayant un maire, président du conseil municipal et également premier responsable de l’exécutif communal. C’est une aberration à corriger, en prenant le bon exemple sur le schémas lusophone. J’arrête là en restant vigilent sur la suite de chantier indispensable.