Alternance en 2015 : La diaspora burkinabè en Allemagne prend position

Monsieur Yako,
Je ne partage pas votre point de vue, et je vous inviterai à prendre contact avec les deux auteurs de cet article afin d´avoir de plus amples informations. Personnellement j´ai participé à cette enquête. Je vous dis aussi que je n´ai aucun lien avec les personnes que vous avez citées, qu´il s´agisse de Monsieur Salif Diallo ou des autres démissionnaires du CDP. Cet article, il faut le voire comme une interpellation à l´ensemble des Burkinabés vivant en Allemagne afin qu´ils s´impliquent davantage dans le débat qui attise tant de passions en ce moment. Si nous commençons par affirmer que tel est de tel bord politique, et que l´autre est de ce côté, nous faussons le débat. De toute façon à ce que je sache, il n´est pas interdit que l´on choisisse son camp politique, soit par conviction ou par solidarité familiale. Je suis content de lire que dans cet article certaines de mes propositions ont été retenues. Votre violence verbale, votre manque de considération pour les idées énoncées ici sont autant des signes qui montrent à quel point vous refusez même le principe de base de la démocratie. Le débat contradictoire ! Monsieur Yako, vous vous cachez en plus sous un pseudonyme, contrairement à Messieurs Jean Eric Yana, et Passam Tiendrébéogo. Je vous invite à vous démasquer afin que nous puissions mener dignement le débat démocratique entre Burkinabès ici en Allemagne. Et quand cela ne vous plaira pas, vous pourrez toujours prendre votre colt et votre cheval. Vous trouverez très certainement sur votre chemin, Messieurs Jean Eric Yana, et Passam Tiendrébéogo, et probablement d´autres Burkinabès qui sont du même avis qu´eux ! Gardons notre calme et notre sérénité si nous voulons être crédibles. Lisez bien l´article avant de réagir comme vous venez de le faire ! Nous ne sommes pas encore sur un ring !
Mes salutations amicales et fraternelles !