Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Vœux nouvel an 2014 : message de son excellence monsieur Blaise Compaoré, président du Faso
2 janvier 2014, 12:09, par
paz
Ce discours nous rappelle tant d’autres, le mieux pour le président était en 5 minutes de déclarer sans se soucier de l’article 37 qui est modifiable sa candidature pour 2015, ou dire au peuple qu’il souhaitait bon vent aux candidats présidentiel de 2915, car lui, il ne sera plus dans la course : ainsi le peuple sera situé de son sort, et la tension sociale s’apaisera d’un cran, chacun, opposition ou partisane, même candidat libre, saura se préparer pour affronter le destin d’un Burkina qui veut être émergeant. Les discours de copie coller des directeurs de cabinet du président dont il relise toujours les 31 décembre n’intéresse plus au peuple Burkinabé, ça devient énervant et incompréhensible. Mr. le président, ne jouer plus avec les nerfs de votre peuple, soyez franc avec vous-même, et respectez le peuple et non le prendre pour un mouton. Votre discours n’avait aucun sens par rapport à la réalité actuelle de notre pays qui attendait de vous la franchise et non le jeu du caméléon.
Ce discours nous rappelle tant d’autres, le mieux pour le président était en 5 minutes de déclarer sans se soucier de l’article 37 qui est modifiable sa candidature pour 2015, ou dire au peuple qu’il souhaitait bon vent aux candidats présidentiel de 2915, car lui, il ne sera plus dans la course : ainsi le peuple sera situé de son sort, et la tension sociale s’apaisera d’un cran, chacun, opposition ou partisane, même candidat libre, saura se préparer pour affronter le destin d’un Burkina qui veut être émergeant. Les discours de copie coller des directeurs de cabinet du président dont il relise toujours les 31 décembre n’intéresse plus au peuple Burkinabé, ça devient énervant et incompréhensible. Mr. le président, ne jouer plus avec les nerfs de votre peuple, soyez franc avec vous-même, et respectez le peuple et non le prendre pour un mouton. Votre discours n’avait aucun sens par rapport à la réalité actuelle de notre pays qui attendait de vous la franchise et non le jeu du caméléon.