Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Education : le MESS transfert une partie de ses compétences au MENA
30 décembre 2013, 19:04, par
Bertin TOE
Dans le principe, nous sommes sur la bonne voie. Tous les pays développés, à un moment de l’histoire de leurs systèmes éducatifs, sont passés par l’allongement de la période de la scolarité obligatoire pour permettre l’élévation du niveau d’instruction générale de la population. Le projet de structuration actuelle de notre système éducatif peut se comprendre dans ce sens et est une nécessité même si, à mon humble avis j’estime qu’on aurait pu aller plus loin pour véritablement répondre à l’exigence de l’école unique de la loi Haby de 1975 ( par exemple corps enseignant unique, lieu de formation unique, plan de carrière flexible et attrayant...) en faisant définitivement le deuil de cette école en degrés. En attendant, pour réussir ce qui est engagé, il nous faut beaucoup de patience et de persévérance tant les résistances seront fortes. le débat contradictoire doit être permis et même promu pour donner l’occasion à chacun d’exprimer son point de vue sans passion et dans le respect des autres acteurs. Sur le terrain, pas mal de facteurs obstacles existent tels la rupture de confiance entre les différents acteurs allant parfois jusqu’à la juridication de certains conflits, la gestion peu professionnel du personnel, la faiblesse de l’administration scolaire avec un système d’évaluation du personnel complètement dévoyé. En acceptant de jeter un regard critique sur certaines de ces insuffisances, nous donnerons plus de chance de réussite à ce transfert .
Dans le principe, nous sommes sur la bonne voie. Tous les pays développés, à un moment de l’histoire de leurs systèmes éducatifs, sont passés par l’allongement de la période de la scolarité obligatoire pour permettre l’élévation du niveau d’instruction générale de la population. Le projet de structuration actuelle de notre système éducatif peut se comprendre dans ce sens et est une nécessité même si, à mon humble avis j’estime qu’on aurait pu aller plus loin pour véritablement répondre à l’exigence de l’école unique de la loi Haby de 1975 ( par exemple corps enseignant unique, lieu de formation unique, plan de carrière flexible et attrayant...) en faisant définitivement le deuil de cette école en degrés. En attendant, pour réussir ce qui est engagé, il nous faut beaucoup de patience et de persévérance tant les résistances seront fortes. le débat contradictoire doit être permis et même promu pour donner l’occasion à chacun d’exprimer son point de vue sans passion et dans le respect des autres acteurs. Sur le terrain, pas mal de facteurs obstacles existent tels la rupture de confiance entre les différents acteurs allant parfois jusqu’à la juridication de certains conflits, la gestion peu professionnel du personnel, la faiblesse de l’administration scolaire avec un système d’évaluation du personnel complètement dévoyé. En acceptant de jeter un regard critique sur certaines de ces insuffisances, nous donnerons plus de chance de réussite à ce transfert .