Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Abdoulaye Cissé à propos de la culture burkinabè : « Le seul problème, ce sont les Burkinabè eux-mêmes, mentalement trop complexés… »
17 août 2013, 10:07, par
MélomaneLambda
C’est un cercle vicieux dans lequel sont enfermés les Burkinabé. Certains disent : "La musique Burkinabé n’est pas de qualité". Mais ils oublient ou ne savent pas qu’il n’y a pas de génération spontanée. La radio, la télé passent leur temps à faire la promotion de la musique des autres pays, même les plus banales et les plus médiocres, de sortent que beaucoup de jeunes grandissent avec dans la tête les futilités des autres.
Il suffit de voir les PPS, les mariages, les baptêmes, etc. pour constater que les sonos ne diffusent souvent que des vociférations à des décibels impossibles qui emm.... tout le quartier et qui souvent ne cadrent même pas avec l’âge moyen et la culture de l’assistance.
Comme dans beaucoup de domaines, là aussi nous avons reculé. Faute d’un travail d’encouragement de nos artistes à faire des recherches sur nos rythmes nationaux pour les moderniser (comme l’ont fait un Georges Ouédraogo et d’autres), nos rythmes se meurent lentement et nous sommes contraints d’écouter ce que les autres font à partir de leur propre culture.
Des musiciens "anciens" constatent même qu’il devient de plus en plus difficile de trouver de simples bons instrumentistes parmi la jeune génération (guitariste, batteur, percussionniste, saxophoniste, trompettiste, etc.).
C’est un cercle vicieux dans lequel sont enfermés les Burkinabé. Certains disent : "La musique Burkinabé n’est pas de qualité". Mais ils oublient ou ne savent pas qu’il n’y a pas de génération spontanée. La radio, la télé passent leur temps à faire la promotion de la musique des autres pays, même les plus banales et les plus médiocres, de sortent que beaucoup de jeunes grandissent avec dans la tête les futilités des autres.
Il suffit de voir les PPS, les mariages, les baptêmes, etc. pour constater que les sonos ne diffusent souvent que des vociférations à des décibels impossibles qui emm.... tout le quartier et qui souvent ne cadrent même pas avec l’âge moyen et la culture de l’assistance.
Comme dans beaucoup de domaines, là aussi nous avons reculé. Faute d’un travail d’encouragement de nos artistes à faire des recherches sur nos rythmes nationaux pour les moderniser (comme l’ont fait un Georges Ouédraogo et d’autres), nos rythmes se meurent lentement et nous sommes contraints d’écouter ce que les autres font à partir de leur propre culture.
Des musiciens "anciens" constatent même qu’il devient de plus en plus difficile de trouver de simples bons instrumentistes parmi la jeune génération (guitariste, batteur, percussionniste, saxophoniste, trompettiste, etc.).