Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Fait divers : Viol d’une fille de 04 ans à Bobo-Dioulasso
31 mai 2013, 13:28
S’il a pu bander devant une fillette de quatre ans, c’est qu’il n’est pas seulement malade, il est un monstre prédateur ! Comme l’a dit le Pr Laurent Bado au sujet des cantines de devises de Guiro, c’est un signe que Dieu nous envoie.
Burkinabè, l’heure est grave ! Hier c’était une affaire de stripteaseuse dans un bar dancing bobolais on n’a rien dit. Avant, c’est un apprenti commando nommé Lompo qui trucidait une pauvre fille au domicile paternel à Ouaga. Aujourd’hui même nos enfants ne sont plus en sécurité et ne peuvent aller tranquillement voir leur grand-mère.
La faute à nous tous. Je propose en attendant d’appliquer la mesure extrême aux récidivistes de créer dans chaque province des centres pour travaux d’intérêt collectifs où ces spécimens et leurs semblables pourraient être internés pour une rééducation morale et civique tout en travaillant (champs, réparations de routes, pose de rails, curage des canalisations etc.)
Si après un tel stage de re-insertion, la personne récidive, la société doit s’en séparer et définitivement. On parle beaucoup maintenant place aux propositions et aux actions !
S’il a pu bander devant une fillette de quatre ans, c’est qu’il n’est pas seulement malade, il est un monstre prédateur ! Comme l’a dit le Pr Laurent Bado au sujet des cantines de devises de Guiro, c’est un signe que Dieu nous envoie.
Burkinabè, l’heure est grave ! Hier c’était une affaire de stripteaseuse dans un bar dancing bobolais on n’a rien dit. Avant, c’est un apprenti commando nommé Lompo qui trucidait une pauvre fille au domicile paternel à Ouaga. Aujourd’hui même nos enfants ne sont plus en sécurité et ne peuvent aller tranquillement voir leur grand-mère.
La faute à nous tous. Je propose en attendant d’appliquer la mesure extrême aux récidivistes de créer dans chaque province des centres pour travaux d’intérêt collectifs où ces spécimens et leurs semblables pourraient être internés pour une rééducation morale et civique tout en travaillant (champs, réparations de routes, pose de rails, curage des canalisations etc.)
Si après un tel stage de re-insertion, la personne récidive, la société doit s’en séparer et définitivement. On parle beaucoup maintenant place aux propositions et aux actions !