Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Bonjour,
permettez moi de donner ma modeste contribution au débat. Etant de la santé je resume mon point de vue en disant qu élas , le Burkina Faso est malade depuis octobre 1987. Malheureusement on refuse le de croire du moins les dignitaires du régime, les intellectuels que je qualifierai ici d ailleurs de faux intellectuels, les dignitaires religieux et coutumiers refusent d admettre que le Faso est malade pour des raisons que tout le monde sait. presque tout le monde est corrompu ou a goutté a la soupe de Blaise.
Par conséquent si on ne reconnait pas qu on est malade comment peut on accepter un traitement quelconque ?
Comme l ont déja souligné certains internautes meme le peuple est responsable de cet état de fait car comme dit l adage chaque peuple mérite ces dirigeants. Le peuple burkinabe est mouton et trouve toujours des raisons pour masquer sa couardise, sa peur. On chante a tout bout des champs qu on a la paix qu on est libre tout en oubliant cet autre adage philosophique qui dit : que signifie la liberté d un renard affamé dans un poulailler vide ? Quelle est cette paix qu on chante tant qui n ai accompagnée que de famine, de pauvreté, de mort ?
En conclusion je résume ceci : seul un tout nouveau systeme peut galvaniser les vrais démocrates les vrais intellectuels et la jeunesse patriote afin d assoir une vraie politique de developpement autours des vraies prioritées que sont la santé, l éducation, le secteur privé et une meilleure distribution des ressources de la nation.
Hélas selon moi et je pense que beaucoup sont de mon avis : le mal du Burkina est au stade de la gangrene. Il faut une intervention chirurgical :
il faut politiquement parler une révolution et une vraie. Il faut repartir a zéro. Je sais que c est amere d admettre qu on a eu 27 ans de gachis mais on a plus le choix. Mieux vaut tard que jamais. j en appelle surtout a la jeunesse de se lever. C est a eux de se battre pour prendre leur destin en main, puisque leurs parents et ainés ont tous failli.
Bonjour,
permettez moi de donner ma modeste contribution au débat. Etant de la santé je resume mon point de vue en disant qu élas , le Burkina Faso est malade depuis octobre 1987. Malheureusement on refuse le de croire du moins les dignitaires du régime, les intellectuels que je qualifierai ici d ailleurs de faux intellectuels, les dignitaires religieux et coutumiers refusent d admettre que le Faso est malade pour des raisons que tout le monde sait. presque tout le monde est corrompu ou a goutté a la soupe de Blaise.
Par conséquent si on ne reconnait pas qu on est malade comment peut on accepter un traitement quelconque ?
Comme l ont déja souligné certains internautes meme le peuple est responsable de cet état de fait car comme dit l adage chaque peuple mérite ces dirigeants. Le peuple burkinabe est mouton et trouve toujours des raisons pour masquer sa couardise, sa peur. On chante a tout bout des champs qu on a la paix qu on est libre tout en oubliant cet autre adage philosophique qui dit : que signifie la liberté d un renard affamé dans un poulailler vide ? Quelle est cette paix qu on chante tant qui n ai accompagnée que de famine, de pauvreté, de mort ?
En conclusion je résume ceci : seul un tout nouveau systeme peut galvaniser les vrais démocrates les vrais intellectuels et la jeunesse patriote afin d assoir une vraie politique de developpement autours des vraies prioritées que sont la santé, l éducation, le secteur privé et une meilleure distribution des ressources de la nation.
Hélas selon moi et je pense que beaucoup sont de mon avis : le mal du Burkina est au stade de la gangrene. Il faut une intervention chirurgical :
il faut politiquement parler une révolution et une vraie. Il faut repartir a zéro. Je sais que c est amere d admettre qu on a eu 27 ans de gachis mais on a plus le choix. Mieux vaut tard que jamais. j en appelle surtout a la jeunesse de se lever. C est a eux de se battre pour prendre leur destin en main, puisque leurs parents et ainés ont tous failli.